Publications Actes en ligne depuis 1989. Index des intervenants. FlorilĂšge des Actes 1963-2003. Publications des biennalistes. Autres publications. Partenaires. Contact. Accueil Les Actes de la XXVIIIe Biennale B28 Interventions B28 Abdelaziz BERKAI.
Commentaire de Maria Zakharova, porte-parole du ministĂšre russe des Affaires Ă©trangĂšres, sur les bombardements incessants de la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie par lâUkraine. Source MinistĂšre des Affaires Ă©trangĂšres de la FĂ©dĂ©ration de Russie, le 8 aoĂ»t 2022 La Russie appelle depuis longtemps la communautĂ© internationale, par divers canaux et Ă diffĂ©rents niveaux, Ă condamner fermement les frappes militaires incessantes menĂ©es par le rĂ©gime de Kiev sur le site de la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie, y compris en utilisant des armements de plus en plus destructeurs. Cette centrale nuclĂ©aire a Ă©tĂ© de nouveau frappĂ©e par lâUkraine les 5 et 6 aoĂ»t. Une catastrophe majeure nâa Ă©tĂ© Ă©vitĂ©e que grĂące Ă lâaction habile et rapide des travailleurs de la centrale nuclĂ©aire ainsi que des forces russes stationnĂ©es lĂ -bas pour fournir une protection complĂšte du site. Nous ne pouvons pas ignorer lâĂ©vidence chaque jour la situation devient de plus en plus dangereuse. Nous communiquons rĂ©guliĂšrement Ă lâAIEA des informations mises Ă jour sur le terrain qui figurent ensuite dans des circulaires de lâAgence dĂ©nonçant avec vigueur les actions criminelles des forces armĂ©es ukrainiennes, dont le commandement a finalement perdu sa capacitĂ© de penser raisonnablement. Ils ont apparemment perdu lâinstinct fondamental dâauto-prĂ©servation. AprĂšs tout, en pointant lâartillerie sur des rĂ©acteurs en fonctionnement et le stockage du combustible nuclĂ©aire usĂ©, les Ukrainiens se visent eux-mĂȘmes. Des meurtres commis sournoisement et sous le couvert de la nuit font partie du mode opĂ©ratoire, pour ne pas dire, la nature des adeptes de Bandera, ce qui est bien connu depuis la Grande Guerre patriotique. Maintenant, ils ne visent plus seulement les peuples de la Russie et de lâUkraine, mais prennent en otage toute lâEurope, et nâhĂ©siteront apparemment pas Ă la brĂ»ler » pour complaire Ă leurs idoles nazies. Nous avons pris note de la dĂ©claration suivante prononcĂ©e par le SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations unies le 8 aoĂ»t Toute attaque contre des centrales nuclĂ©aires est une chose suicidaire. » Il a exprimĂ© lâespoir que ces attaques prendraient fin. Ă son tour, le directeur gĂ©nĂ©ral de lâAIEA sâest montrĂ© particuliĂšrement alarmĂ© Ă la suite de la frappe qui avait touchĂ© la plus grande centrale nuclĂ©aire dâEurope en signalant le risque rĂ©el dâune catastrophe nuclĂ©aire qui pourrait mettre en danger la population et lâenvironnement de lâUkraine et au-delĂ . Il a condamnĂ© tout acte de violence commis directement sur le site de la centrale nuclĂ©aire ou dans ses environs, ainsi que contre ses travailleurs. Les dirigeants des organisations internationales semblent avoir froid dans le dos en voyant ce que font des militaires ukrainiens. Mais la question demeure Kiev entend-t-il ces messages et le rĂ©gime de Zelenski est-il capable de les comprendre. Les dirigeants des Nations unies et de lâAIEA nâosent pas Ă©voquer explicitement lâorigine de la menace tout en Ă©tant rĂ©ticents Ă montrer du doigt les acteurs Ă Kiev. En consĂ©quence, il semble que des missiles et des obus tombent de nulle part sur la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie, ses travailleurs et la ville voisine dâEnergodar, alors quâils sont lancĂ©s depuis les territoires sous le contrĂŽle des forces armĂ©es ukrainiennes. Il est parfaitement clair qui dirige la main pointant une arme et pressant la dĂ©tente. Pour paraphraser un aphorisme cĂ©lĂšbre, la langue nâest pas donnĂ©e aux diplomates, surtout de ce rang, pour cacher leurs pensĂ©es dans une situation pareille, mais pour sâexprimer avec la plus grande clartĂ©. Nous avons prĂ©sentĂ© beaucoup dâinformations corroborantes pour que le SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations unies et le directeur gĂ©nĂ©ral de lâAIEA puissent dĂ©clarer ouvertement et fermement aux autoritĂ©s ukrainiennes lâinadmissibilitĂ© des frappes sur la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie en les forçant Ă cesser immĂ©diatement dâattaquer la centrale et son personnel, y compris leurs familles et dâautres rĂ©sidents dâEnergodar. Si 43 Ukrainiens, dont 15 enfants, avaient Ă©tĂ© massacrĂ©s Ă Kiev par des frappes russes ces derniers jours, nos flux dâinformation seraient trĂšs diffĂ©rents en ce moment. Merdias et politicards, avouez simplement que vous ĂȘtes raciste et fermez-la.GazaUnderAttack â Le Cri des Peuples lecridespeuples August 9, 2022 Le raisonnement et lâĂ©valuation perfides faisant partie des manĆuvres diplomatiques et de lâimpartialitĂ© postiche sont inappropriĂ©s et nuisibles. La menace a pris une telle ampleur que nous ne pouvons pas rester impassibles. Il est temps de rappeler Kiev Ă lâordre, et pour les dirigeants des Nations unies et de lâAIEA de faire preuve de leadership et de leur capacitĂ© de sâattaquer Ă la source de la menace. Nous sommes encouragĂ©s par les dĂ©clarations du SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations unies en faveur des efforts de lâAIEA visant Ă crĂ©er des conditions favorables Ă la stabilisation de la situation sur le site de la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie et Ă assurer lâaccĂšs Ă lâinstallation. Nous espĂ©rons que lâONU ne fera pas obstacle Ă la mise en place dâune mission internationale de lâAIEA sur le site de la centrale, ce qui a Ă©tĂ© malheureusement le cas dans le passĂ©. Le chef du Centre de contrĂŽle de la dĂ©fense nationale de la FĂ©dĂ©ration de Russie, le gĂ©nĂ©ral MikhaĂŻl Mizintsev lâa Ă©voquĂ© en particulier le 6 aoĂ»t. Si la rĂ©action du SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations unies avait Ă©tĂ© adĂ©quate dĂšs le dĂ©but, les complications actuelles auraient pu ĂȘtre Ă©vitĂ©es. Voyant son incertitude ou mĂȘme sa faiblesse, les adeptes de Bandera et Choukhevitch Ă Kiev lĂšvent la tĂȘte en tirant de plus en plus violemment sur la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie sans penser aux victimes ni aux consĂ©quences. Nous prenons note de lâengagement du directeur gĂ©nĂ©ral de lâAIEA Ă effectuer une visite, prĂ©vue antĂ©rieurement, Ă la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie. Nous tenons Ă rappeler de nouveau que du cĂŽtĂ© russe tout a Ă©tĂ© fait il y a quelques semaines pour une visite rĂ©ussie. Il ne peut y avoir aucun reproche Ă notre Ă©gard. Le fait que la mission internationale de lâAIEA nâait pas eu lieu repose entiĂšrement sur la conscience de Kiev. Il est uniquement dans lâintĂ©rĂȘt de Kiev de tenir lâAIEA Ă lâĂ©cart de la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie. AprĂšs que les experts internationaux et la direction de lâAgence auront vu tout par eux-mĂȘmes, il nây aura aucun doute sur la responsabilitĂ© de Kiev des attaques et de tous les autres crimes commis contre la centrale nuclĂ©aire de Zaporojie et son personnel. Nous sommes convaincus quâensemble nous pourrons mettre fin au dangereux arbitraire dĂ©clenchĂ© par le rĂ©gime de Zelenski. Voir notre dossier sur la situation en Ukraine. Pour soutenir ce travail censurĂ© en permanence y compris par Mediapart et ne manquer aucune publication, faites un don, partagez cet article et abonnez-vous Ă la Newsletter. Vous pouvez aussi nous suivre sur Twitter, Facebook, Youtube et VKontakte. Source Le Cri des Peuples Notre dossier RussieNotre dossier Ukraine
Nousavons donc voulu prendre la parole, et imaginĂ© un univers de jeu de rĂŽle, permettant Ă tous dâavoir la traduction et la vision de lâimpact que peuvent avoir sur ces personnes ces façons de penser et comportements dans un contexte de pandĂ©mie. Le maĂźtre du jeu est ici SARS-Cthulhu, et le but est bien sur dâĂ©viter que celui-ci ne sâabatte massivement sur le monde. Bonne lecture !
The Lyrics for Ă qui la faute by Leila AD have been translated into 1 languagesSimplement, il faut que je me livre Je veux pas quâČon se dise qu'on a juste ratĂ© lâČoccas' Forcement, c'est toi qui mâČenivresJâČai peur, tu m'attires mais jâČveux pas rater l'occasâČ J'ferais jamais de trĂȘve et tant pis si jâČen crĂšve Ce genre de sentiment qui pousse Ă faire des bails sombres Tu me regardes Ă peine et mĂȘme pas tu rappelles Faut qu'on s'aime autrement, jâČai plus le temps de faire semblant Ă qui la faute? Dans le vide je saute Je me raccroche Ă nous deux JâČai perdu ma santĂ© Je pourrais pas faire sans toi Je me raccroche Ă nous deux Je patiente comme un condamnĂ© Je me contente de ce qu'on me donne Les souvenirs communs quâČon avait S'effaceront et câČest comme d'habâČ Je patiente comme un condamnĂ© Je me contente de ce qu'on me donne Les souvenirs communs qu'on avait SâČeffaceront et câČest comme d'habâČ Je ressens comme un vide T'inquiĂšte, je vois bien que tu mâČĂ©vites C'est chacun sa vida en vĂ©ritĂ© Il faut que je te le dise Avant que quelque chose se brise Je tâČaime pour la vida en vĂ©ritĂ© Je ferais jamais de trĂȘve et tant pis si j'en crĂšve Ce genre de sentiment qui pousse Ă faire des bails sombres Tu me regardes Ă peine et mĂȘme pas tu rappelles Faut qu'on sâČaime autrement, jâČai plus le temps de faire semblant Ă qui la faute? Dans le vide je saute Je me raccroche Ă nous deux J'ai perdu ma santĂ© Je pourrais pas faire sans toi Je me raccroche Ă nous deux Je patiente comme un condamnĂ© Je me contente de ce quâČon me donne Les souvenirs communs qu'on avait SâČeffaceront et c'est comme dâČhab' Je patiente comme un condamnĂ© Je me contente de ce qu'on me donne Les souvenirs communs quâČon avait SâČeffaceront et c'est comme dâČhab' câČest comme d'habâČ Je ressens comme un vide T'inquiĂšte, je vois bien que tu m'Ă©vites CâČest chacun sa vida en vĂ©ritĂ© Il faut que je te le dise Avant que quelque chose se brise Je tâČaime pour la vida en vĂ©ritĂ©Writers Aladdin Awad, Leila Marwa Adian, Alexandre Haouzi
Ensuite vous entrez le code, et vous ĂȘtes prĂȘt! Nous avons rassemblĂ© une liste des chansons TikTok les plus accrocheuses qui vous feront certainement chanter. Titre de la chanson. Code. ABBA â Dancing Queen. 4584552904. Ant Saunders â Coeurs jaunes. 4326384848. Bag Raiders â Shooting Stars.
Si la rĂšgle gĂ©nĂ©rale veut que le conseil syndical, organe dĂ©pourvu de personnalitĂ© juridique, ne puisse pas ĂȘtre attaquĂ© en justice, ce nâest pas forcĂ©ment le cas de ses membres Ă titres individuel. Me Jean-Philippe Mariani, avocat, et Bruno Lehnisch, cadre juridique, qui alimentent trĂšs rĂ©guliĂšrement un blog consacrĂ© au droit de la copropriĂ©tĂ©, ont ainsi repĂ©rĂ© cette dĂ©cision toute rĂ©cente des juges de Nanterre datĂ©e du 1er fĂ©vrier. » LIRE AUSSI - Un voisin nâa pas Ă prĂȘter son terrain pour les travaux dâun logement mitoyenCes derniers ont condamnĂ© trĂšs sĂ©vĂšrement une prĂ©sidente de conseil syndical et le syndic dâun immeuble de Boulogne-Billancourt Ă verser solidairement euros la moitiĂ© chacun Ă un couple de copropriĂ©taires en litige avec eux. La somme se rĂ©partit entre euros en rĂ©paration de la perte de valeur du bien immobilier, 8000 euros de prĂ©judice moral et 5000 euros de frais de juges ont estimĂ© dans cette affaire que la prĂ©sidente du conseil syndical avait manifestement agi dans lâintention de nuire Ă ses voisins et avait manipulĂ© lâassemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. En lâespĂšce, il sâagissait dâune histoire tristement courante de jalousie entre voisins et dâabus de pouvoir du conseil syndical pour rĂ©gler cette affaire personnelle. La prĂ©sidente du conseil syndical avait prĂ©parĂ© une rĂ©solution permettant au syndic dâagir en justice pour ordonner la dĂ©molition dâune vĂ©randa installĂ©e au 11e Ă©tage de la copropriĂ©tĂ©, sur une terrasse. Celle-ci aurait Ă©tĂ©, selon elle, construite en toute illĂ©galitĂ©. Or cette construction avait Ă©tĂ© autorisĂ©e Ă lâunanimitĂ© par la copropriĂ©tĂ© 20 ans plus tĂŽt, Ă un moment oĂč lâactuelle prĂ©sidente du conseil syndical Ă©tait dĂ©jĂ membre de cette instance et avait approuvĂ© cette juges nâont pas Ă©tĂ© dupes, comme le relĂšvent dans leur analyse MM. Mariani et Lehnisch Lâoubli allĂ©guĂ© par Madame Y de lâexistence de cette autorisation, justifiĂ© selon cette derniĂšre par lâĂ©coulement dâun dĂ©lai de plus de vingt ans apparaĂźt pourtant comme Ă©tant sĂ©lectif, pour porter seulement sur lâautorisation, mais pas sur lâexistence elle-mĂȘme de la vĂ©randa.» Le syndic, de son cĂŽtĂ©, sâest montrĂ© coupable de gĂ©rer la procĂ©dure de dĂ©molition sans sâĂȘtre assurĂ© dans les archives de la copropriĂ©tĂ© que la construction de cette vĂ©randa avait Ă©tĂ© juridiction des Hauts-de-Seine retient finalement que la dĂ©marche fautive de la PrĂ©sidente du Conseil syndical consistant Ă demander au syndic dâinscrire une rĂ©solution Ă lâordre du jour de lâassemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du 01/12/2013, portant habilitation de ce dernier Ă agir en justice pour remettre en cause un droit acquis de ces derniers, ne sâinscrit pas dans la mission habituelle dâun membre du conseil syndical, mais apparaĂźt par sa gravitĂ©, dĂ©tachable de sa mission habituelle, engageant pleinement sa responsabilité» TJ de Nanterre, 1er fĂ©vr. 2021, n° 17/06746.La responsabilitĂ© dâun membre du conseil syndical ne peut en effet ĂȘtre engagĂ©e que sâil a outrepassĂ© ses fonctions. La rĂšgle gĂ©nĂ©rale, pour ce prĂ©cieux travail bĂ©nĂ©vole effectuĂ© trĂšs majoritairement dans lâintĂ©rĂȘt collectif de la copropriĂ©tĂ©, consiste plutĂŽt Ă garantir une quasi-immunitĂ© aux membres du conseil syndical. Câest ce que rappelle le ministĂšre de la Justice, le 27 aoĂ»t 2020, en rĂ©ponse Ă une question posĂ©e par le sĂ©nateur Yves DĂ©traigne, prĂ©cisant que cette quasi-immunitĂ© vaut pour les actes accomplis dans lâexercice de leurs fonctions» Ă savoir assister le syndic de la copropriĂ©tĂ©, contrĂŽler sa gestion et conseiller le syndicat sur toutes questions, pour lesquelles il est consultĂ© ou dont il se saisit lui-mĂȘme. Ainsi, une nĂ©gligence dans le contrĂŽle des comptes ou un conseil peu avisĂ©, nâengage pas vĂ©ritablement sa des assurancesIl nâen est pas de mĂȘme en revanche si les conseillers syndicaux agissent de mauvaise foi ou commettent une faute suffisamment grave comme une collusion frauduleuse avec le syndic. Dans ces cas, il y a dĂ©jĂ eu des condamnations, plus lĂ©gĂšres, par le passĂ©, comme ce conseiller syndical condamnĂ© par la Cour dâappel de Poitiers en 2007 CA Poitiers, 3e ch. civ., 17 janv. 2007, n° 06/01197 Ă 3800 euros de dommages et intĂ©rĂȘts pour des propos diffamatoires contre le gardien de la rĂ©sidence. Ou encore cet autre prĂ©sident de conseil syndical condamnĂ© solidairement avec son syndic CA Nancy, 17 nov. 2015, n° 15/02361 Ă 4000 euros de dommages et intĂ©rĂȘts pour avoir poursuivi un intĂ©rĂȘt strictement personnel».Me Jean-Philippe Mariani et Bruno Lehnisch relĂšvent par ailleurs que les conseillers syndicaux condamnĂ©s ne peuvent probablement pas faire jouer lâassurance responsabilitĂ© civile» de la copropriĂ©tĂ© pour rĂ©gler les dommages et intĂ©rĂȘts. En effet, les compagnies dâassurances excluent gĂ©nĂ©ralement les agissements dĂ©tachables des missions lĂ©gales du conseil syndical.
Devenuauteur de best-sellers, l'ancien prĂ©sident de la RĂ©publique est un des rares hommes politiques Ă les Ă©crire lui-mĂȘme, et un plus grand lecteur qu'on ne le croit. Il est Ă©galement depuis un an administrateur de LagardĂšre, maison mĂšre d'Hachette Livre, et c'est en partie Ă lui que l'on doit le rapprochement avec Editis. Sur tous ces sujets, il a acceptĂ© de
Les plus grands succĂšs de lâartiste TRADUITS
Plande la riviĂšre Mitis au QuĂ©bec. Le journal 20 Minutes (en collaboration avec The Conversation) illustre lâimpact que pourraient avoir les mathĂ©matiques dans la gestion de lâeau au niveau planĂ©taire, un des dĂ©fis Ă©cologiques de demain. La moitiĂ© de lâhumanitĂ© subit une pĂ©nurie dâeau annuelle, et les inondations dues Ă un surplus dâeau ont causĂ© 80 milliards de dollars
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Le Programme dâappui Ă la sociĂ©tĂ© civile PASC est lâinitiative phare de la coopĂ©ration europĂ©enne avec la Tunisie Ă destination de la sociĂ©tĂ© civile. Son budget sâĂ©lĂšve Ă 7 millions dâeuros pour la pĂ©riode 2012-2016. En plus des assistances techniques et des appuis financiers Ă des projets pilotes », il comprend un projet mis en Ćuvre par European partnership for democracy. DĂ©crit comme une coquille vide » par ses dĂ©tracteurs, dirigĂ© par une figure de lâancien rĂ©gime, celui-ci est entachĂ© de conflits dâintĂ©rĂȘts, de dĂ©missions et de licenciements abusifs. EnquĂȘte. Aux origines du PASC Le PASC sâinscrit dans le cadre dâun programme plus vaste, le SPRING Soutien au Partenariat, Ă la RĂ©forme et Ă la Croissance inclusive, lancĂ© en 2011 par lâUnion europĂ©enne dans les pays Sud de son voisinage en rĂ©ponse aux Ă©vĂ©nements du Printemps arabe ». Outre la croissance durable et inclusive et le dĂ©veloppement Ă©conomique », le SPRING a pour ambition dâaccompagner le processus de transition dĂ©mocratique et de promouvoir la bonne gouvernance en Tunisie, au Maroc, en Egypte et en Jordanie. Suite Ă la publication dâun rapport de diagnostic de la sociĂ©tĂ© civile tunisienne en mars 2012, lâUnion europĂ©enne dresse les grandes lignes dâun Programme dâappui Ă la sociĂ©tĂ© civile PASC, auquel est allouĂ© un budget de 7 millions dâeuros. Sa convention de financement est signĂ©e le 9 juillet 2012 entre la Commission europĂ©enne et le gouvernement. Le PASC vise trois objectifs principaux renforcer les capacitĂ©s des organisations de la sociĂ©tĂ© civile et leur mise en rĂ©seau, encourager le dialogue et les initiatives communes entre la sociĂ©tĂ© civile et lâEtat, et rĂ©viser la rĂ©glementation concernant le travail de la sociĂ©tĂ© civile. En septembre 2012, un appel Ă proposition est publiĂ©, avec Ă la clĂ© une premiĂšre enveloppe de 3,4 millions dâeuros, pour appuyer et accompagner la sociĂ©tĂ© civile tunisienne dans ses efforts de structuration et consolidation, afin quâelle puisse contribuer de maniĂšre effective Ă la transition dĂ©mocratique et Ă lâamĂ©lioration du contexte socioĂ©conomique local ». Câest lâorganisation non gouvernementale European partnership for democracy EPD, qui dĂ©croche la subvention, alliĂ©e Ă ses quatre partenaires locaux lâAssociation tunisienne pour lâĂ©veil dĂ©mocratique ATED, plus tard remplacĂ©e par le Forum tunisien pour les droits Ă©conomiques et sociaux FTDES, lâAssociation tunisienne dâĂ©tudes et recherches en dĂ©mocratie et affaires locales ATERDAL, le Centre de formation et dâappui a la dĂ©centralisation CFAD et lâEcole nationale dâadministration de Tunis ENA. BasĂ©e Ă Bruxelles, European partnership for democracy intervient au Maroc, au Kirghizistan, au Ghana, en Moldavie, en Birmanie, en Egypte, en Georgie, au Zimbabwe, etc. pour y soutenir les transitions dĂ©mocratiques ». FamiliĂšre des institutions et des programmes de lâUnion europĂ©enne, EPD affirme son ambition de devenir lâacteur incontournable de lâassistance Ă la dĂ©mocratie » au niveau europĂ©en. Une fois sĂ©lectionnĂ©e, European Partnership for Democracy peut alors mettre en place le projet, quâon appellera PASC-EPD pour faire la distinction avec le programme global PASC de lâUnion europĂ©enne. En 2013 se dĂ©roulent les recrutements pour lâUnitĂ© de gestion du programme UGP. AprĂšs quâune premiĂšre personne ait renoncĂ© pour raisons de santĂ©, câest Imed Abdeljaoued qui est nommĂ© au poste de directeur. Cela peut surprendre, Ă©tant donnĂ© sa trajectoire. La trajectoire trouble dâImed Abdeljaoued, directeur du PASC-EPD Ă Tunis Au dĂ©but des annĂ©es 2000, Imed Abdeljaoued est enseignant en Ă©conomie Ă la FacultĂ© des sciences Ă©conomiques et de gestion de Tunis. Un de ses collĂšgues de lâĂ©poque le dĂ©crit comme un type ordinaire ». En 2005, il se retrouve propulsĂ© au poste de directeur de lâInstitut des hautes Ă©tudes commerciales de Carthage IHEC, une des meilleures Ă©coles de commerce de Tunisie. Il a alors parmi ses Ă©tudiants Halima Ben Ali, la fille du prĂ©sident. En parallĂšle, Imed Abdeljaoued sâinvestit Ă©galement dans lâAssociation gĂ©nĂ©rale des insuffisants moteurs AGIM, que prĂ©sidait son frĂšre, Mohamed Laaziz Abdeljaoued. A la mort de ce dernier en 2008, câest lui qui en assure la prĂ©sidence. Fin janvier 2011, il est contraint de quitter son poste de directeur de lâIHEC sous les huĂ©es des Ă©tudiants. Une vidĂ©o rĂ©alisĂ©e par IHEC TV montre un cortĂšge de plusieurs dizaines dâĂ©tudiants rĂ©clamant son dĂ©part aux cris de dĂ©gage ! ». Il entame alors une traversĂ©e du dĂ©sert de plusieurs mois. En juillet 2011, il Ă©crit une tribune intitulĂ©e Les hommes dâaffaires, la liste de la honte » et les sans-culottes » ! pour se justifier dâavoir signĂ© lâappel des mille pour le parachĂšvement du projet national du prĂ©sident Ben Ali » en aoĂ»t 2010, exhortant ce dernier Ă se porter de nouveau candidat Ă lâĂ©lection prĂ©sidentielle de 2014-2019. Nâest-il pas exagĂ©rĂ© de parler de liste de la honte» pour ceux qui, vrai ou faux, de grĂ© ou de force, ont appelĂ© le dĂ©chu Ă se prĂ©senter en 2014 ?! [âŠ] Est-ce quâon peut mesurer ce quâon endure quand on est pris dans le tourbillon du pouvoir de grĂ© ou de force ? Peut-on imaginer la sentence si on nâaccepte pas de caresser dans le sens du poil ? A-t-on idĂ©e sur son devenir si on est ennemi du prĂ©sident ? De la mafia? », se lamente-t-il. Imed Abdeljaoued admet, en termes gĂ©nĂ©raux et impersonnels, avoir acceptĂ© de caresser dans le sens du poil ». Mais il y a plus grave des enseignants de lâIHEC lui reprochent dâavoir apposĂ©, dans lâappel des mille, leur signature en plus de la sienne, Ă partir dâune liste dâĂ©margement rĂ©alisĂ©e dans un cadre de travail. Nâen ayant pas Ă©tĂ© informĂ©s au prĂ©alable, ils disent sâen ĂȘtre rendu compte aprĂšs 2011, et cela a portĂ© prĂ©judice Ă ceux dâentre eux qui avaient alors des ambitions politiques. Imed Abdeljaoued est prompt Ă retourner sa veste ; il semble aussi affectionner les positions victimaires vis-Ă -vis de son passĂ©. Quelques mois aprĂšs la rĂ©volution, il prend la plume pour dĂ©noncer lâinsoutenable terrorisme exercĂ© par Basma », lâassociation pour la promotion de lâemploi des handicapĂ©s prĂ©sidĂ©e par LeĂŻla Ben Ali, sur des personnalitĂ©s de tous bords » et notamment, lâAGIM, lâassociation quâil prĂ©side toujours. Sâexprimant Ă son propre sujet Ă la troisiĂšme personne du singulier, il concĂšde avoir participĂ© Ă des Ă©vĂ©nements organisĂ©s par Basma malgrĂ© les griefs de cette derniĂšre Ă son encontre. Or, deux ans avant cette prise de parole tĂ©mĂ©raire, lâAGIM faisait partie des associations du secteur social qui publiaient une dĂ©claration de soutien Ă la concrĂ©tisation du projet civilisationnel du prĂ©sident de la RĂ©publique » et faisaient part de leur intention de sâengager Ă contribuer au succĂšs des Ă©lections du 25 octobre 2009. Certains observateurs assurent mĂȘme quâil Ă©tait en fait en trĂšs bons termes avec la femme du prĂ©sident. MĂȘme ses ennemis lui reconnaissent certaines qualitĂ©s un tempĂ©rament de battant qui ne se laisse pas vaincre facilement, un certain flair, un sens du rĂ©seau, des capacitĂ©s dâadaptation⊠Celles dâun homme ambitieux, qui a su se renouveler malgrĂ© la contrariĂ©tĂ© rĂ©volutionnaire. Et lâhomme de lâancien rĂ©gime, qui signait fin 2010 une dĂ©claration saluant le rĂŽle dĂ©terminant et avant-gardiste [du prĂ©sident Ben Ali] dans lâĂ©dification dâune dĂ©mocratie Ă©clairĂ©e assurant Ă notre pays la stabilitĂ© et le dĂ©veloppement continu en symbiose avec une contribution populaire large et consensuelle », sâest transformĂ© en chantre de la dĂ©mocratie participative, des droits de lâhomme, de la transparence et de la lutte contre la corruption Ă la sauce europĂ©enne. Certains atouts ont pu lâaider dans cette prouesse, notamment sa relation avec Hamadi Fehri, ancien enseignant Ă lâIHEC qui, dĂ©but 2013, est nommĂ© Ă la tĂȘte de lâENA. Or lâENA fait partie du secrĂ©tariat exĂ©cutif du PASC-EPD. En janvier 2014, une filiale dâEPD est créée en Tunisie, avec pour reprĂ©sentant lĂ©gal Imed Abdeljaoued, dirigĂ©e par Mohamed Attafi, le community manager du PASC-EPD et Nadia Bouguerba, assistante administrative du programme. Imed Abdeljaoued nâest donc pas seulement le directeur du PASC-EPD il dĂ©tient aussi les pouvoirs dâouverture et de gestion de compte bancaire », de reprĂ©sentation auprĂšs des autoritĂ©s », de mise en Ćuvre et de respect des rĂšgles internes de gestion Ă©tablies par EPD », de gestion de toutes les personnes engagĂ©es sur place par EPD », sauf contestation et rĂ©vocation des contrats. âŹïž PDF Imed Abdeljaoued continue de sâassurer des appuis bien placĂ©s au ministĂšre du DĂ©veloppement et de la CoopĂ©ration internationale, au ministĂšre des Finances et plus gĂ©nĂ©ralement dans les instances chargĂ©es de veiller au bon dĂ©roulement du PASC-EPD. Certains se retrouvent Ă la fois juges et parties. Par exemple, la personne chargĂ©e dâassurer une formation sur lâintĂ©gration rĂ©gionale les 13 et 14 juin 2015 nâĂ©tait autre que Mohieddine Kelila, directeur de la coopĂ©ration multilatĂ©rale et rĂ©gionale du ministĂšre des Finances, faisant partie, Ă ce titre, du comitĂ© de suivi du programme. Un management conflictuel Il ne faut pas attendre longtemps pour que les premiĂšres tensions se fassent sentir. Les coordinateurs opĂ©rationnel et rĂ©gionaux sont recrutĂ©s Ă lâautomne 2013. Ils sont tous prĂ©sents lors du lancement officiel du PASC, le 30 janvier 2014. Les premiers mois sont consacrĂ©s Ă la familiarisation avec lâĂ©quipe, Ă lâinstallation dans les bureaux rĂ©gionaux de Tunis, Le Kef, Sousse, Gafsa, Tozeur et MĂ©denine et au repĂ©rage des associations. CâĂ©tait trĂšs flou au dĂ©but, jâavais du mal Ă mâapproprier le projet. Je demandais lâaccĂšs aux documents de rĂ©fĂ©rence, au cadre logique, mais on me rĂ©pondait constamment quâils Ă©taient en phase de mise Ă jour ». On faisait beaucoup de dĂ©placements Ă Tunis, pour des formations, des sessions de team-building », on rĂ©digeait des rapports », raconte une ancienne coordinatrice, avant de poursuivre Mais je nâavais pas lâimpression que ce que je faisais avait un impact concret. A un certain moment jâai senti que je gaspillais mon Ă©nergie, mĂȘme si jâavais un salaire trĂšs confortable environ 3000 DT. Quand je suis arrivĂ©e, jâai ressenti quâil y avait beaucoup de mĂ©fiance ; pas vraiment dâencadrement. Il nây avait pas dâesprit dâĂ©quipe au sein de lâUnitĂ© de Gestion du Programme. Le directeur ne faisait rien, il Ă©tait rarement lĂ quelques heures en fin de journĂ©e, et encore. Il nây avait pas vraiment de vision », ajoute une de ses anciennes collĂšgues. Une dĂ©fiance mutuelle sâinstaure entre les membres de lâUnitĂ© de gestion du programme et les coordinateurs rĂ©gionaux, qui nâont pas lâimpression de disposer dâune rĂ©elle marge de manĆuvre. La plupart de ces nouvelles recrues ont Ă©tĂ© choisies pour leur connaissance de la sociĂ©tĂ© civile sur le terrain, souvent acquise lors dâune expĂ©rience militante. Leur culture politique, leur culture de travail sont trĂšs diffĂ©rentes de celles qui prĂ©valent dans lâUnitĂ© de gestion du programme UGP, notamment celles du directeur, Imed Abdeljaoued. Tout passait par lâoral. Ils nâenvoyaient jamais dâe-mail, pour ne pas laisser de trace. Ainsi ils nous demandaient des tĂąches, puis nous reprochaient de les avoir effectuĂ©es, en niant nous les avoir demandĂ©es. Ils essayaient aussi de crĂ©er des tensions entre les gens diviser pour mieux rĂ©gner, le mĂȘme genre de manĆuvres quâau RCD », tĂ©moigne un ancien coordinateur rĂ©gional Ă propos de certains collĂšgues de lâUGP. En fait, il y avait un dĂ©calage entre ce quâon devait transmettre aux associations et nos pratiques internes au sein du PASC », renchĂ©rit une autre. En mars 2014, la coordinatrice opĂ©rationnelle est licenciĂ©e. Celle qui lui succĂšde commence par rĂ©aliser un diagnostic assorti de propositions, qui restent sans suite. La situation sâenvenime. âŹïž PDF En juin 2014, lors dâune retraite dâĂ©quipe Ă Hammamet, le fossĂ© se creuse entre la direction et les coordinateurs. Le 25 aoĂ»t 2014, 9 coordinateurs rĂ©gionaux parmi les 10 rĂ©digent une lettre collective argumentĂ©e Ă European Partnership for Democracy EPD pour rĂ©clamer le dĂ©part du directeur. EPD choisit son camp, celui dâImed Abdeljaoued. Le 28 aoĂ»t, les coordinateurs envoient une lettre de dĂ©mission collective. âŹïž PDF Câest la crise. Le directeur dâEPD Bruxelles de lâĂ©poque, Nicolas Rougy, se rend Ă Tunis le 2 septembre, pour tenter de trouver une issue nĂ©gociĂ©e dans le cadre du respect, du sens de la responsabilitĂ© et du dialogue, principales valeurs promues par le PASC », Ă©crit-il. Un atelier de gestion de conflit est organisĂ©, animĂ© par une experte » libanaise. Cette session se passe mal. Lâambiance est tendue. Certains coordinateurs acceptent difficilement lâintrusion de lâexperte dans le conflit et encore moins ses remarques dĂ©sobligeantes sur la sociĂ©tĂ© tunisienne selon des tĂ©moignages concordants, elle serait allĂ©e jusquâĂ justifier la corruption du PASC » par le fait que la sociĂ©tĂ© tunisienne, dans son ensemble, est corrompue ». Aux coordinateurs qui dĂ©noncent lâĂ©cart entre les discours et les pratiques, Imed Abdeljaoued rĂ©torque vous faites partie du systĂšme » et quâils doivent sâestimer heureux de toucher un tel salaire pour les tĂąches qui leur sont demandĂ©es. Le 9 septembre, EPD envoie une lettre aux trois coordinateurs considĂ©rĂ©s comme les meneurs annonçant la fin de leur contrat, mais aussi la dĂ©cision dâengager des poursuites pour diffamation Ă leur encontre et la demande du remboursement de leurs salaires perçus depuis le dĂ©but de la mission. Les six autres coordinateurs reçoivent une lettre qui les met en garde contre une rupture de contrat similaire, ainsi que des appels tĂ©lĂ©phoniques dâintimidation. Cinq coordinateurs sont finalement rĂ©intĂ©grĂ©s au PASC-EPD. La coordinatrice opĂ©rationnelle dĂ©cide, pour sa part, de dĂ©missionner. Il y aura ensuite dâautres dĂ©missions au cours des annĂ©es suivantes. âŹïž PDF Le 12 novembre 2014, Laura Baeza, ambassadrice de lâUnion europĂ©enne en Tunisie, Ă©crit Ă Nicolas Rougy, le directeur dâEPD, lui reprochant de nâavoir pas suivi les recommandations du comitĂ© de suivi et lui signale que sa qualification des motifs de licenciement pour faute pourrait ĂȘtre facilement contestĂ©e devant les tribunaux tunisiens Ă©tant donnĂ© la lĂ©gĂšretĂ© dont a fait preuve EPD dans ses communications Ă©crites avec son personnel ». âŹïž PDF DĂ©cidĂ©ment rĂ©tive aux mĂ©dias, Laura Baeza met en garde contre de possibles retentissements dans la presse qui pourraient dĂ©couler de dĂ©clarations de certaines des personnes licenciĂ©es, faisant Ă©tat des difficultĂ©s du projet ». Deux des coordinateurs licenciĂ©s ont effectivement portĂ© plainte pour licenciement abusif. Deux ans aprĂšs les faits, ils attendent encore un jugement. Le PASC-EPD quel impact ? Sur son site internet, le PASC-EPD se targue dâavoir organisĂ© 435 ateliers de concertation dans les 24 gouvernorats, 120 ateliers mixtes rĂ©unissant des reprĂ©sentants des organisations de la sociĂ©tĂ© civile et des acteurs publics, dâavoir impliquĂ© 3500 associations, dâavoir créé et appuyĂ© 36 rĂ©seaux associatifs. Une ribambelle de chiffres qui donnent le vertige, mais que certains observateurs assimilent Ă du saupoudrage, ce qui est courant quand lâapproche quantitative est privilĂ©giĂ©e au dĂ©triment du travail de fond. Selon les anciens collaborateurs du PASC-EPD, lâessentiel du budget du programme est allouĂ© aux salaires, trĂšs confortables, Ă la location des locaux, Ă la rĂ©munĂ©ration des divers consultants, experts et prestataires de services Ă©trangers. Ainsi, une plateforme CommunautĂ© de pratiques » qui se voulait devenir le facebook de la sociĂ©tĂ© civile tunisienne » a Ă©tĂ© Ă©laborĂ©e par une entreprise europĂ©enne, pour un budget estimĂ© Ă 80 000 euros. La Tunisie ne manque pourtant pas de dĂ©veloppeurs informatiques qui, Ă ce tarif, auraient probablement pu rĂ©aliser un travail plus dĂ©veloppĂ©, mieux adaptĂ© aux pratiques existantes, aux besoins locaux. Dâailleurs, lâengouement pour la plateforme nâa pas pris ; celle-ci est aujourdâhui inactive. AprĂšs ces dĂ©penses gĂ©nĂ©reuses, il reste peu de fonds pour la rĂ©alisation des activitĂ©s ou pour dâĂ©ventuelles subventions pour les projets des associations locales. Ce manque de moyens amĂšne les coordinateurs Ă faire avec les moyens du bord. Une procĂ©dĂ© commun parmi eux est dâinsister pour que les activitĂ©s des associations de leurs rĂ©gions se dĂ©roulent dans leurs locaux en Ă©change dâune pause cafĂ©, afin dây apposer le logo du PASC et de les comptabiliser dans leur bilan. Cela est facilitĂ© lorsquâils appartiennent aussi Ă dâautres associations, tout comme lâest aussi la crĂ©ation de partenariats et de rĂ©seaux, qui reposent alors en grande partie sur la personne du coordinateur. Le PASC-EPD devait initialement prendre fin en juillet 2016. Sa durĂ©e a Ă©tĂ© rallongĂ©e de six mois. La subvention Ă EPD sera-t-elle reconduite aprĂšs cela ? Rien nâest moins sĂ»r. La dĂ©lĂ©gation de lâUnion europĂ©enne UE en Tunisie affirme que lâUE souhaite continuer Ă appuyer la sociĂ©tĂ© civile, mais quâelle doit dâabord procĂ©der Ă lâĂ©valuation du PASC avant de savoir quelles formes prendra le futur soutien. Le PASC nâest pas reprĂ©sentatif de tous les projets europĂ©ens. Mais il cumule des travers qui sont relativement courants dans les projets de coopĂ©ration le recours Ă des consultants Ă©trangers payĂ©s trĂšs chers malgrĂ© leur connaissance limitĂ©e du terrain, un certain laxisme vis-Ă -vis de lâĂ©valuation qualitative, la prĂ©valence de la communication sur le travail de fond, la compromission dans les jeux de pouvoir, etc. Lâindustrie est lucrative pour ceux quâelle emploie, qui ont tout intĂ©rĂȘt Ă ce quâelle perdure. Tant pis, dans ces conditions, pour le transfert de compĂ©tences », pour lâautonomisation, pour la durabilitĂ© ». Pour ceux qui y croyaient, la pillule est amĂšre. Jâai perdu confiance en les structures europĂ©ennes, et mĂȘme dans le message divulguĂ© », affirme un ancien coordinateur.
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En hommage Ă Sadeq Jalal Al Azm, pionnier de la contestation syrienne 1 Paris â RenĂ© Nabaâ Basma Kodmani fait lâobjet dâune controverse dont la vivacitĂ© tĂ©moigne de lâanimositĂ© que suscite la porte-parole de lâopposition syrienne de lâextĂ©rieur et de lâampleur du dĂ©chirement de la classe politique et intellectuelle arabe Ă lâĂ©gard du drame syrien et des enjeux que sous-tend la conquĂȘte de Damas tant au plan de la stratĂ©gie rĂ©gionale quâau niveau de lâimaginaire collectif arabe. La mise en ligne, en fĂ©vrier 2012, dâune ancienne Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e française rĂ©alisĂ©e Ă lâoccasion du salon du livre français en 2008, dont IsraĂ«l Ă©tait lâinvitĂ© dâhonneur, a fait Ă©clater au grand jour la polĂ©mique, latente depuis lâinstallation du Conseil national transitoire syrien avec lâaide massive de la BibliothĂšque MĂ©dicis» de la chaĂźne parlementaire Public SĂ©nat», animĂ©e par le trĂšs journaliste sarkozyste Jean Pierre El Kabbache, a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e avec la participation dâĂ©crivains israĂ©liens et dâun ancien prĂ©sident du CRIF, ThĂ©o Klein, en la compagnie exclusive de lâuniversitaire rĂ©activation, selon toute vraisemblance, paraissait destinĂ©e Ă discrĂ©diter la porte-parole de lâopposition en suggĂ©rant sa connivence avec IsraĂ«l et le lobby pro israĂ©lien de France. Une caution moderniste Ă une alliance rĂ©trograde Universitaire Ă lâexpertise reconnue, Basma Kodmani a bĂ©nĂ©ficiĂ© dâun soutien de poids dans cette bataille de lâopinion avec le tĂ©moignage de lâuniversitaire amĂ©ricano palestinien Rachid Khalid, de lâĂ©diteur franco syrien Farouk Mardam Bey, petit fils dâun chef du combat nationaliste syrien du temps du mandat français, lâancien premier ministre Jamil Mardam Bey, et de Leila Chahid, ancien dĂ©lĂ©guĂ© de Palestine en France. Le trio a dĂ©noncĂ© la perversité» du procĂ©dĂ© dont lâobjectif rĂ©pondait au souci de discrĂ©diter une vraie militante de la cause palestinienne».Auteure dâune thĂšse sur les rĂ©fugiĂ©s palestiniens, Basma Kodmani a collaborĂ© avec des personnalitĂ©s palestiniennes de premier plan, tel Faysal Husseini, Ă des projets humanitaires et politiques. A son actif figurent notamment le projet de parrainage dâenfants des camps de rĂ©fugiĂ©s palestiniens avec de riches familles arabes de Palestine et dâailleurs, de mĂȘme que plusieurs pĂ©titions de personnalitĂ©s occidentales en faveur des Palestiniens. Mais la propulsion au poste de porte-parole de lâopposition syrienne de cette chercheuse Ă lâIFRI Institut Français de Relations Internationales, le fortin atlantiste de la pensĂ©e stratĂ©gique de la diplomatie française, de surcroĂźt ancienne directrice de la branche rĂ©gionale de la Ford Foundation au Caire, et auditrice assidue au Forum de Bilderberg, la plateforme dĂ©cisionnelle des cosmocrates de la trilatĂ©rale Etats-Unis, Europe, Japon a Ă©tĂ© perçue par des franges de lâopinion arabe comme une volontĂ© de confĂ©rer un halo de modernitĂ© Ă une opposition largement dominĂ©e par les FrĂšres Musulmans». Un effet dâimage destinĂ© Ă gommer dans lâopinion le congrĂšs de juillet 2011, tenu Ă Paris par les FrĂšres Musulmans, sous lâĂ©gide de Bernard Henry Levy, le plus en vue des intellectuels français pro-israĂ©liens, dĂ©sastreux pour la crĂ©dibilitĂ© de lâopposition syrienne. Une opĂ©ration de ravalement cosmĂ©tique Ă une alliance rĂ©trograde, boudĂ©e dâailleurs Ă ce titre par dâauthentiques rĂ©sistants de lâintĂ©rieur. Le rĂŽle dâun intellectuel progressiste Lâempressement de lâuniversitaire franco syrien Bourhane Ghalioune Ă obtenir lâadoubement du prĂ©dicateur islamique Youssef Al-Qaradawi a confirmĂ© cette hypothĂšse, en mĂȘme temps quâelle discrĂ©ditait le nouveau chef nominal de lâopposition syrienne, en ce que sa renonciation Ă sa posture laĂŻque antĂ©rieure a signĂ© la marque dâun renoncement. Sa prĂ©cipitation Ă donner des gages au camp israĂ©lo-amĂ©ricain en annonçant la rupture du ravitaillement stratĂ©gique du Hezbollah libanais en cas de victoire, la marque dâun reniement, plongeant dans la consternation ses parrains par son amateurisme contre-productif et dĂ©couragĂ© bon nombre de ralliement Ă sa cause. A son indĂ©pendance, la Syrie confiait la direction de son gouvernement Ă une personnalitĂ© chrĂ©tienne, FarĂšs al-Khoury, indice de sa maturitĂ© politique et du dĂ©passement des clivages ethnico-religieux. Soixante ans plus tard, un intellectuel qui a forgĂ© sa rĂ©putation sur la critique des pratiques religieuses de son pays, fait acte dâallĂ©geance Ă lâIslam atlantiste et pĂ©trolier, en gage de sa promotion politique, un signe indiscutable de rĂ©gression devoir dâun intellectuel progressiste est de faire conjuguer Islam et progressisme et non de provoquer lâabdication intellectuelle des progressistes devant un islamisme basique, invariablement placĂ© sous les fourches caudines israĂ©lo-amĂ©ricaines. Originaire de la ville de Homs, dâune famille pĂ©trie de dialectique marxiste, lâauteur du malaise arabe» aurait dĂ» se souvenir que ce malaise-lĂ rĂ©sulte principalement de la dĂ©mission des Ă©lites et de leur embrigadement dans le rĂŽle de caution aux Ă©quipĂ©es impĂ©riales. Fille dâun diplomate syrien ayant Ă©margĂ© sur le budget de lâĂ©tat syrien tout au long de sa carriĂšre, au parcours acadĂ©mique, sans ancrage sur le terrain, sans tradition de lutte, nullement rĂ©pertoriĂ©e dans les rangs de lâopposition historique au rĂ©gime baasiste, le parachutage de Basma Kodmani au poste stratĂ©gique de porte-parole de lâopposition a Ă©tĂ© perçu comme un passe-droit exorbitant, nullement justifiĂ© par son palmarĂšs oppositionnel, soulignant en filigrane la volontĂ© de la France de placer sous sa tutelle lâopposition syrienne de lâextĂ©rieur. Plaident en ce sens lâopposition du tandem Ă une intervention publique Ă Paris, avec la complicitĂ© du Quai dâOrsay, dâun des plus prestigieux opposants syriens, Ă la lĂ©gitimitĂ© supĂ©rieure Ă celle du duo, Michel Kilo, emprisonnĂ© Ă deux reprises par Damas, de mĂȘme que le vĂ©to opposĂ© Ă un rĂ©sistant authentique de lâintĂ©rieur, Georges Sabra, ancien prisonnier politique et dirigeant du Parti dĂ©mocratique de Syrie, Ă briguer la tĂȘte de lâopposition syrienne. Au prĂ©texte de sa religion chrĂ©tienne ? De sa qualitĂ© dâhomme de gauche? Des deux Ă la fois?âŠUn signe dâouverture?En contrechamp, le pitoyable dĂ©filĂ© dâopposants de la derniĂšre heure, bouffons Ă lâexpression alĂ©atoire, Ă la pensĂ©e problĂ©matique, se vautrant sur les plateaux de tĂ©lĂ©vision pour le quart dâheure de cĂ©lĂ©britĂ© mĂ©diatique, a offert un spectacle affligeant dâopportunisme indigne de la qualitĂ© du combat des opposants de lâintĂ©rieur et du niveau intellectuel de la sociĂ©tĂ© civile syrienne. Ces trois faits ont posĂ© le problĂšme de la pertinence politique du tandem franco syrien et de leur mentor français et nourri le procĂšs de leurs ambitions en mĂȘme temps que de leur connivence avec lâancienne puissance un duo qui se veut reprĂ©sentatif de la future Syrie libre, moderne, dĂ©mocratique et indĂ©pendante, son placement sous tutelle de lâancien pouvoir colonial, un des grands soutiens aux dictateurs arabes dĂ©chus Egypte, Tunisie, artisan du dĂ©membrement de leur pays dâorigine, la Syrie, au bĂ©nĂ©fice de la Turquie, par dĂ©tachement du district dâAlexandrette, et, maitre dâĆuvre du blocus de Gaza sous la mandature Sarkozy, pouvait difficilement se percevoir comme une marque de gĂ©nie politique, nonobstant les effets corrosifs de cette servilitĂ© sur la crĂ©dibilitĂ© du leadership de lâopposition. Sans charisme, sans relief, sans vĂ©ritable marge de manĆuvre, le noyau français au sein de lâopposition syrienne est apparu, neuf mois aprĂšs son lancement, comme tributaire de ses commanditaires, Ă la merci de leur agenda diplomatique, oubliant ou feignant dâoublier que la stratĂ©gie occidentale de la derniĂšre dĂ©cennie a visĂ© Ă sanctuariser IsraĂ«l et Ă ostraciser lâIran en vue de consacrer une mise sous tutelle durable du monde arabe Ă lâhĂ©gĂ©monie stratĂšge, un comble pour une spĂ©cialiste des relations internationales, elle mĂ©sestimera la force dâobstruction de la Chine, de la Russie et de lâInde, de mĂȘme que lâAfrique du sud, la moitiĂ© de lâhumanitĂ©, infligeant le premier revers majeur Ă la diplomatie occidentale depuis lâeffondrement du bloc soviĂ©tique dans la dĂ©cennie 1990. Nicolas Sarkozy, le pivot europĂ©en de lâaxe israĂ©lo-amĂ©ricain, Alain JuppĂ©, le ministre gaulliste nĂ©o atlantiste concĂ©dant arbitrairement et unilatĂ©ralement Ă IsraĂ«l, en pleine bataille de Syrie, le droit de se dĂ©gager de ses obligations internationales concernant les territoires palestiniens de 1967, assurant de surcroit se ranger du cĂŽtĂ© dâIsraĂ«l en cas de guerre rĂ©gionale, la Turquie, lâautre manche de la tenaille qui Ă©trangle, avec IsraĂ«l, leur pays dâorigine, lâEmir du Qatar, lartisan de la dĂ©sarticulation de la Libye et Youssef al Qardawi, lâancienne bĂȘte noire de lâOccident reconverti dans lâhonorabilitĂ© par le fait des royalties princiers âŠon aurait rĂȘvĂ© meilleure caution morale Ă une entreprise dâune telle ampleur, la transformation dĂ©mocratique de la Syrie, et, au-delĂ du Monde aggravante, le prĂ©cĂ©dent gĂ©orgien de SalomĂ© Zoubachvili, binationale franco-gĂ©orgienne, nommĂ©e ministre des Affaires Ă©trangĂšres de GĂ©orgie aprĂšs avoir Ă©tĂ© ambassadeur de France, a pointĂ© la nature hybride du duo et jouĂ© en sa dĂ©faveur en ce quâelle a posĂ© le problĂšme du bien-fondĂ© dâune dĂ©cision visant Ă confier la direction de lâopposition syrienne Ă des membres de la fonction publique française, câest-Ă -dire Ă des salariĂ©s de lâancien pouvoir colonial. Pour rappel Ă lâordre, Ă lâintention du lecteur arabophone, le code de conduite Ă©dictĂ© par Nasser Ă lâĂ©gard des menĂ©es impĂ©rialistes Et pour le lecteur francophone le rĂ©sumĂ© suivantRĂ©pliquant Ă une menace amĂ©ricaine de lui couper lâassistance financiĂšre, Nasser a proclame Les AmĂ©ricains menacent de nous affamer. Eh bien on mangera quatre jours sur sept, un jour sur deux, un repas sur deux. DĂ©plorable posture en comparaison du glorieux comportement de son lointain prĂ©dĂ©cesseur, Youssef Al Azmeh, ministre de la dĂ©fense, se portant Ă la tĂȘte de ses armĂ©es pour mener personnellement bataille aux Français pour la dĂ©fense de la partie, Ă la bataille de Maysaloune, acte fondateur du nationalisme syrien face au pouvoir colonial français. Une plus grande perspicacitĂ© aurait pu rĂ©duire les critiques Ă leur Ă©gard. Trois personnalitĂ©s de lâopposition, Haitham al-Maleh, Kamal al-Labwani et Catherine al-Telli, ont dâailleurs dĂ©missionnĂ© du Conseil en signe de protestation contre lâautoritarisme du duo et la lourde tutelle des bailleurs de fonds pĂ©tro monarchique. Gageons que si lâopposition syrienne de Paris avait Ă©tĂ© chapeautĂ©e par une personne de la stature du philosophe Sadeq Jalal Al Azm, une personnalitĂ© majeure de la pensĂ©e politique arabe contemporaine ou de Michel Kilo, voire mĂȘme de Ryad Al Turk, un vĂ©tĂ©ran de la lutte politique syrienne, la visibilitĂ© de lâopposition aurait Ă©tĂ© plus grande, lâadhĂ©sion plus importante, lâeffet dâentrainement plus dynamique et la critique moins acerbe. Besoin des Juifs et dâIsraĂ«l Les mots ont un sens et ne constituent nullement une enfilade de paroles verbales pour la satisfaction narcissique dâune exposition mĂ©diatique. La participation dâun arabe Ă un dĂ©bat avec des IsraĂ©liens est de pratique courante de nos jours. Mais la prĂ©sence de lâuniversitaire franco syrienne Ă une manifestation Ă la gloire dâIsraĂ«l, boycottĂ©e par les intellectuels palestiniens et arabes en signe de protestation contre les guerres de destructions israĂ©liennes au Liban Juillet 2006 et de Gaza 2008 a pu paraĂźtre choquante Ă bien des Ă©gards en ce quâelle bravait et les consignes de boycott et la solidaritĂ© militante, confĂ©rant une prime au bellicisme israĂ©lien Ă Beyrouth et Ă Gaza, en lâexonĂ©rant par sa en ce que ce salon du livre en lâhonneur dâIsraĂ«l a Ă©tĂ© volontairement programmĂ© par Nicolas Sarkozy Ă deux semaines dâĂ©lections municipales aux fins de lui servir de levier auprĂšs de lâĂ©lectorat juif dans une consultation problĂ©matique, quâil finira dâailleurs par perdre par dĂ©magogie. Plus choquante aura Ă©tĂ© sinon la dĂ©sinvolture du moins la passivitĂ© en tout cas la maladresse de cette mĂšre dâenfants palestiniens devant les dolĂ©ances des intervenantes israĂ©liennes, exprimant leurs craintes pour la vie de leurs enfants en service dans lâarmĂ©e israĂ©lienne, sans faire valoir, en rĂ©plique, les craintes identiques de mĂšres palestiniennes devant les ravages quasi quotidiens de lâaviation israĂ©lienne, non seulement contre les militaires mais Ă©galement contre les civils palestiniens rĂ©guliĂšrement fauchĂ©s, sans discrimination de sexe ou dĂąges, dans lâindiffĂ©rence quasi gĂ©nĂ©rale des pays occidentaux. Parmi les autres griefs formulĂ©s Ă son encontre figure son besoin» de Juifs et dâIsraĂ«l quâelle a exprimĂ© en guise de profession de foi pour favoriser la diversitĂ© culturelle au Moyen besoin» qui aurait pu trouver meilleur Ă©cho et accueil sâil sâĂ©tait adressĂ© Ă des pacifistes israĂ©liens, en guise dâencouragement Ă leur combat, et non Ă des membres de lâestablishment dâun pays qui se vit comme la pointe avancĂ©e du Monde libre» face Ă la barbarie arabo musulmane, dont le travail de sape permanent a pulvĂ©risĂ© la Palestine, la terre de ses propres enfants, sa population et jusque mĂȘme son identitĂ©, sans la moindre offre de prestation Ă lâallure dâune reddition intellectuelle et morale Ă lâimperium colonial. Une insulte Ă la mĂ©moire de Rachel Corie, pacifiste amĂ©ricaine Ă©crasĂ©e par un bulldozer israĂ©lien dans son combat contre le dĂ©racinement des Palestiniens de Rafah, dans la Bande de Gaza. Une insulte au combat quotidien de prĂšs de quatre millions de Palestiniens empruntant lâhumiliant parcours des 700 barrages israĂ©liens pour leur gagne-pain journalier⊠et qui se seraient, trĂšs franchement, volontiers, passĂ©s de ce besoin» 2. La rĂ©plique de Doha Shams Doha Shams, sans dĂ©tours, sans ambages, sans le moindre mĂ©nagement pour son ancienne connaissance parisienne, en dĂ©duira que Basma Kodmani est une arabe de service» de la diplomatie française au service des intĂ©rĂȘts stratĂ©giques des Occidentaux. Dans une retentissante tribune publiĂ©e le 27 fĂ©vrier 2012 sur sa page Facebook dans le quotidien Al Akhbar», le journal influent des cercles intellectuels et progressistes arabes, la journaliste libanaise a dĂ©noncĂ© lâactivisme belliqueux de Mme Kodmani, sa volontĂ© dâacter le Chapitre VII de la charte des Nations Unies autorisant lâusage de la force», dans tous les documents officiels de lâopposition, en vue de dĂ©blayer la voie Ă une intervention occidentale en Syrie, sur le modĂšle divorcĂ©e du journaliste palestinien Nabil Darwiche, Basma Kodmani-Darwiche a bĂ©nĂ©ficiĂ© dâun accĂšs privilĂ©giĂ© au leadership palestinien de par ses travaux, certes, mais aussi et surtout de par sa situation matrimoniale en ce que son beau-frĂšre, un officier palestinien assassinĂ© Ă Rome dans la dĂ©cennie 1980, appartenait Ă la garde rapprochĂ©e de Yasser Arafat, le chef de lâOrganisation de libĂ©ration de la Palestine OLP, lui confĂ©rant le privilĂšge statutaire de famille de martyr». Pour louable quâelle ait pu ĂȘtre, au-delĂ de la satisfaction dâun amour propre personnel, sa diplomatie pĂ©titionnaire a abouti Ă dĂ©douaner Ă bon compte les Ă©lites occidentales de lâĂ©crasante responsabilitĂ© de leur pays dans le drame palestinien, tant du fait de la dĂ©claration Balfour 1917 que du fait du gĂ©nocide hitlĂ©rien que de la collaboration vichyste, sans pour autant faire progresser la paix, sans refreiner pour autant lâannexion rampante de la Palestine et la dĂ©perdition de sa population. A nây prendre garde, la frĂ©quentation du monde Ă©thĂ©rĂ© des salons veloutĂ©s de la haute administration française et des forums internationaux peut exposer son auteur Ă de sĂ©rieuses dĂ©convenues. A sa dĂ©connexion de la en est ainsi de son besoin» dâIsraĂ«l prĂ©citĂ©, que de ses murs Ă abattre». Pour la crĂ©dibilitĂ© de son auteur, un tel projet supposerait quâil ne se limite pas au mur de la peur psychologique entre IsraĂ©liens et Palestiniens, mais englober tous les autres murs, sans exception, aussi bien le mur dâapartheid sĂ©parant IsraĂ«l de la Cisjordanie, que le mur de la dictature militaire syrienne, tout comme le mur de la dictature religieuse pĂ©tro monarchique saoudienne, enfin, le mur de la dictature financiĂšre de lâoligarchie occidentale, les deux meilleurs alliĂ©s de la militante franco syrienne pro palestinienne. Le syndrome Ahmad Chalabi Une prĂ©sentation unilatĂ©rale des faits peut prĂȘter Ă Ă©quivoque. Sâil est vrai quâ en Syrie la propagande est en vigueur Ă longueur de commentaires», ainsi que le souligne Ă juste titre Le Monde, en date du 24 fĂ©vrier 2012, il est non moins vrai que lâĂ©chafaudage mĂ©diatique occidental sophistiquĂ© sâapparente, par moments, Ă une entreprise de manipulation de lâopinion. Le journal de rĂ©fĂ©rence de la presse française aurait ainsi Ă©tĂ© plus avisĂ© de mentionner en complĂ©ment de son information, les turpitudes du camp adverse, notamment les nombreuses interceptions de livraisons dâarmes opĂ©rĂ©es au Liban dans les zones sous contrĂŽle du clan Hariri, la mise en place dâune plateforme opĂ©rationnelle de la DGST au nord Liban, au mĂ©pris du principe de la souverainetĂ© libanaise, ou encore la rĂ©union parallĂšle des barbouzards de lâOtan, en marge de la rĂ©union de la rĂ©union des amis de la Syrie» Ă Tunis, le 28 fĂ©vrier dernier, en vue de fomenter un coup dâĂ©tat Ă Damas. Réédition dâun scĂ©nario Ă©culĂ©, le dispositif en vigueur Ă lâencontre de la Syrie est identique Ă celui mis en place Ă propos de lâIrak, justifiant une fois de plus le constat de Pierre Bourdieu sur la circulation circulaire de lâinformation», tant au Qatar, Ă travers Al Jazira, quâen France, via le quotidien Ahmad Ibrahim Hilal, responsable de lâinformation sur la chaĂźne transfrontiĂšre qatariote, agit depuis les combats de Syrie, il y a un an, en couple et en boucle avec son propre frĂšre Anas Al Abda, proche du courant islamiste syrien et membre du CNT, au diapason du tandem parisien formĂ© par Basma Kodmani, porte-parole du CNT et sa sĆur Hala Kodmani, animatrice du cellule oppositionnelle syrienne Ă Paris et chargĂ©e de la chronique Syrie au quotidien français LibĂ©ration dans une fĂącheuse confusion des genres 3. Cette proximitĂ© pose le problĂšme de la conformitĂ© dĂ©ontologique de lâattelage. AmplifiĂ© en France au niveau arabophone par Radio Orient, la radio du chef de lâopposition libanaise, Saad Hariri, partie prenante au conflit de Syrie, du jamais vu dans les annales de la communication internationale, ce dispositif frappe de caducitĂ© le discours mĂ©diatique occidental au mĂȘme titre que le discours officiel syrien, en ce quâil est obĂ©rĂ© par le syndrome Ahmad Chalabi».Un Syndrome du nom de ce transfuge irakien qui avait alimentĂ© la presse amĂ©ricaine des informations fallacieuses sur lâarsenal irakien, via sa niĂšce journaliste en poste dans lâune des principautĂ©s du golfe, implosant la crĂ©dibilitĂ© de lâemployeur de la journaliste vedette du New York Times, Judith Miller, passĂ©e Ă la postĂ©ritĂ© comme Ă©tant lâarme de destruction massive de la crĂ©dibilitĂ© du New York Times dans la guerre dâIrak». Une dizaine de journalistes de premier plan ont dĂ©missionnĂ© dâ Al Jazira» en signe de protestation de sa couverture partiale» des Ă©vĂšnements de Libye et surtout de Syrie, emportant avec eux la crĂ©dibilitĂ© de la chaĂźne. Promue dĂ©sormais Ă la fonction de lanceur dâalerte» de la stratĂ©gie occidentale Ă lencontre du Monde arabe, Al Jazira a ainsi sinistrĂ©, en lâespace dâun semestre, sa rĂ©putation patiemment construite en quinze ans, et sabordĂ© du coup son monopole sur les ondes panarabes. Par le fait du prince» et de son maĂźtre 4. La bataille de Syrie est une bataille dĂ©cisive dont lâissue va dĂ©terminer la hiĂ©rarchie des puissances dans lâordre rĂ©gional dâune large fraction du XXI me siĂšcle. Elle se doit de sâafficher comme un combat frontal des dĂ©mocrates contre les imposteurs et les falsificateurs pour la prĂ©servation des intĂ©rĂȘts fondamentaux du Monde arabe. Non un combat contre une dictature pour lui substituer une autocratie plus soft», plus sournoise, plus conforme aux intĂ©rĂȘts occidentaux. Non une gesticulation mortifĂšre dâune coalition hĂ©tĂ©roclite cimentant une alliance contre-nature de faux prophĂštes contre les aspirations profondes du Monde arabe. En un mot, une opĂ©ration de diversion dont lâobjectif final nâest rien moins que lâenterrement en catimini de la Palestine⊠sous couvert de libertĂ© et de XX me siĂšcle a Ă©tĂ© marquĂ© par lâimplantation dâun foyer national juif» Ă lâintersection des deux versants du Monde arabe, sa rive asiatique et sa rive africaine, rompant le continuum stratĂ©gique de lâensemble arabe. Le XXI me siĂšcle voit poindre lâemprise israĂ©lienne sur la totalitĂ© du bassin historique de la Palestine et de son arriĂšre-plan stratĂ©gique, avec la complicitĂ© active des pĂ©tromonarchies, sans doute le directoire le plus rĂ©pressif et le plus rĂ©gressif de la planĂšte, lâ idiot utile» par excellence de la stratĂ©gie hĂ©gĂ©monique occidentale sur la zone arabo musulmane en ce quâil se substitue aux pays occidentaux en crise systĂ©mique pour Ă©radiquer, Ă ses frais avancĂ©s, sans contrepartie, toute volontĂ© de rĂ©sistance arabe. Le prĂ©cĂ©dent libyen devrait inciter Ă la prudence au terme dâune sĂ©quence dans laquelle les Arabes auront Ă©tĂ©, dans lâallĂ©gresse, les mercenaires de leur propre perte. Lâauteur de ces lignes a vĂ©cu le septembre noir jordanien 1970 et la guerre civile libanaise 1975-1992 pour mĂ©sestimer les ravages des guerres fratricides. Que le combat soit donc menĂ© dans la clartĂ©. Que lâaction collective prenne le pas sur les stratĂ©gies personnelles de conquĂȘte du pouvoir, et que surtout, les bourreaux du passĂ© ne soient jamais les bienfaiteurs du futur encore moins leurs parrains. Blanche colombe ou vipĂšre lubrique ? Enfant du Bon Dieu ou canard sauvage ? Dindon de la farce ou paon gorgĂ© de vanitĂ©s? Avant-garde dâune escouade de combattants de la libertĂ© visant Ă la transformation dĂ©mocratique du Monde arabe ou intrigante nourrie dâune ambition dĂ©mesurĂ©e? Tacticienne hors pair, Arabe de service» ou Idiot utile», pour reprendre la vieille terminologie marxiste toujours dâactualitĂ©? Lâhistoire, seule, dira ce que Basma Kodmani aura Ă©tĂ© en cette phase charniĂšre de lâhistoire arabe. Les exactions des opposants syriens dĂ©noncĂ©es par lâorganisation humanitaire amĂ©ricaine Human Right Watch», se superposant aux attentats de djihadistes erratiques dâAlep et de Damas, Ă la mi-mars 2012, et Ă ceux de Toulouse et de Montauban, Ă la mĂȘme date, devraient refreiner les ardeurs belliqueuses des pays occidentaux et rĂ©duire du coup la voilure et la flamboyance de leurs poulains syriens. Solidement adossĂ©e au pouvoir sarkozyste en phase crĂ©pusculaire, particuliĂšrement Alain JuppĂ©, philosioniste nĂ©ophyte, Basma Kodmani, de par ses projections et connections, apparaĂźt toutefois, dâores et dĂ©jĂ , comme un Ă©lĂ©ment du problĂšme et non de la solution. Mise Ă jour 18 avril 2012 Le journal libanais Al Akhbar publie le 18 avril 2012 des extraits des Ă©changes Ă©lectroniques entre le duo français de lâopposition syrienne Bourhane Ghalioune Basma Kodmani avec lâadministration amĂ©ricaine Pour le lecteur non arabophone Bourhane Ghalioune, chef de lâopposiiton syrienne de lâextĂ©rieur, considĂšre que le Lieutenant colonel Ryad Assaad, le chef de lâArmĂ©e Libre de Syrie, basĂ© en Turquie, est un homme au comportement autoritariste et animĂ© de grandes ambitions et quâil importe de mettre en place une direction collective pour le cadrer. Ghalioune assure en outre quâil ignore le degrĂ© de coopĂ©ration et de rĂ©activitĂ© entre Ryad Al Assaad, le plus haut gradĂ© dissident de lâarmĂ©e syrienne et les combattants de lâintĂ©rieur. Il recommande en outre de prendre en considĂ©ration le cas des dissidents syriens basĂ©s dans le Nord de lâIrak. Dans un message de FrĂ©dĂ©ric Hauff; en charge du Proche Orient au dĂ©partement dâĂ©tat amĂ©ricain conseille au duo de prendre contact en Russie avec Mikail Margalov, lâĂ©missaire spĂ©cial du PrĂ©sident Dimitri Medvedev qui serait, selon le diplmate amĂ©ricain, le diplomate russe leplus proche des thĂšses des amĂ©ricains et du groupe du 14 mars au Liban clan Hariri en ce qui concerne la Syrie ». Arabisant ayant longtemps vĂ©cu au Maghreb, nâappartient toutefois pas au circuit dĂ©cisionnel russe et nous ignorons dans quelle mesure ses promesses lâengagent, avertit lâamĂ©ricain au tandem Ghalioune Kodmani. RĂ©fĂ©rences1- Sadeq Jalal Al Azm, un personnage considĂ©rable de la pensĂ©e politique arabe contemporaine, est lâauteur de trois ouvrages qui ont fait date Nakd al Fikr ad Dini Critique de la pensĂ©e religieuse Edition Dar At-Taliâa» -Beyrouth, Nakd al Fikr Baâada al Hazima Critique de la pensĂ©e aprĂšs la dĂ©faire» de 1967 et Zihniyat At Tahrim La mentalitĂ© du tabou». Professeur de philosophie Ă lâUniversitĂ© amĂ©ricaine de Beyrouth, il sera convoquĂ© Ă Damas pour y ĂȘtre jugĂ© Ă la suite de la publication de son premier ouvrage Critique de la pensĂ©e religieuse». Il sera relĂąchĂ© faute de preuves substantielles. Il sera par la suite professeur Ă lâUniversitĂ© de Princeton Etats-Unis, dans la dĂ©cennie 1970, avant de revenir Ă Damas pour y enseigner la philosophie europĂ©enne moderne et ses rapports avec lâIslam. Il est titulaire du Prix Erasmus, du Prix LĂ©opold Lucas de lâUniversitĂ© de TĂŒbingen section thĂ©ologie et Docteur Honoris Causa de lâuniversitĂ© de Hambourg. Ryad Al-Turk, secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral du parti communiste syrien, a fait plusieurs sĂ©jours en prison. Câest le doyen des opposants politiques A propos de Rachel Corrie, en guise piqure de rappel, cf la lettre des parents de la jeune fille Ă lâoccasion du neuviĂšme anniversaire de son collaboratrice du dĂ©lĂ©guĂ© de la Ligue arabe Ă Paris, puis de lâOrganisation de la Francophonie, responsable de la rĂ©daction arabe de France 24, Hala Kodmani anime depuis Mai 2011 une structure oppositionnelle Ă Paris, lâassociation Sourya Houryia» Syrie LibertĂ©, poste quâelle cumule avec ses fonctions journalistiques Ă le lecteur arabophone, ci-joint le lien sur les manipulations dâAl Jazira Ă propos de la couverture des Ă©vĂšnements de Syrie. Pour complĂ©ment dâinformation sur la problĂ©matique de lâopposition syrienne de lâextĂ©rieur Si vous avez trouvĂ© une coquille ou une typo, veuillez nous en informer en sĂ©lectionnant le texte en question et en appuyant sur Ctrl + EntrĂ©e . Cette fonctionnalitĂ© est disponible uniquement sur un ordinateur.
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