MultipliĂ© « vingt » perd la marque du pluriel quand il est suivi d’un autre adjectif numĂ©ral. C’est le cas ici, et il faut Ă©crire « mille quatre-vingt-trois ». Phrase correcte. Phrase correcte. Faux. Il faut Ă©crire : Les joueurs ont dĂ©jĂ  misĂ© quatre-vingts millions d’euros en ligne. « Vingt », ici multipliĂ©, est suivi d La chanson de Jean Ferrat est mise sur le site en hommage Ă  Simone VEIL Paroles de la chanson Nuit et Brouillard» par Jean Ferrat Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent Ils se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s DĂšs que la main retombe, il ne reste qu’une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ© La fuite monotone et sans hĂąte du temps Survivre encore un jour, une heure, obstinĂ©ment Combien de tours de roues, d’arrĂȘts et de dĂ©parts Qui n’en finissent pas de distiller l’espoir Ils s’appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vishnou D’autres ne priaient pas, mais qu’importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre Ă  genoux Ils n’arrivaient pas tous Ă  la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux Ils essaient d’oublier, Ă©tonnĂ©s qu’à leur Ăąge Les veines de leurs bras soient devenues si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair Ă©tait tendre Ă  leurs chiens policiers On me dit Ă  prĂ©sent que ces mots n’ont plus cours Qu’il vaut mieux ne chanter que des chansons d’amour Que le sang sĂšche vite en entrant dans l’histoire Et qu’il ne sert Ă  rien de prendre une guitare Mais qui donc est de taille Ă  pouvoir m’arrĂȘter L’ombre s’est faite humaine, aujourd’hui c’est l’étĂ© Je twisterais les mots s’il fallait les twister Pour qu’un jour les enfants sachent qui vous Ă©tiez Vous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battants Vous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent IlsĂ©taient vingt et cent ils Ă©taient des milliers, Nus et maigres tremblants dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants. Ils Ă©taient des milliers ils Ă©taient vingt et cent. Ils se croyaient des hommes n'Ă©taient plus que des nombres. Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s. DĂšs que la main retombe il ne reste qu'une ombre. citation 1 Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers, Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants, Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et et Brouillard 1963 de Jean Tenenbaum, dit Jean FerratRĂ©fĂ©rences de Jean Tenenbaum, dit Jean Ferrat - Biographie de Jean Tenenbaum, dit Jean FerratPlus sur cette citation >> Citation de Jean Tenenbaum, dit Jean Ferrat n° 87715 - Ajouter Ă  mon carnet de citations Notez cette citation - Note moyenne sur 467 votesRecherche de citations Ă©taient milliers / milliers maigres / maigres tremblants / tremblants wagons / wagons plombĂ©s / plombĂ©s dĂ©chiraient / dĂ©chiraient ongles / ongles battants / Ă©taient maigres / Ă©taient tremblants / Ă©taient wagons / Ă©taient plombĂ©s / Ă©taient dĂ©chiraient / Ă©taient ongles / Ă©taient battants / milliers tremblants / milliers wagons / milliers plombĂ©s / milliers dĂ©chiraient / milliers onglesVotre commentaire sur cette citation Cette phrase de Jean Tenenbaum, dit Jean Ferrat contient 36 mots. Il s'agit d'une citation longue. Confucius Victor Hugo Einstein Gandhi Coluche Oscar Wilde Friedrich Nietzsche Jean Paul Sartre LĂ©onard de Vinci Voltaire Mandela MĂšre Teresa Pierre Desproges Socrate Jean JaurĂšs NapolĂ©on Bonaparte Martin Luther King Platon Jean Jacques Rousseau Saint-ExupĂ©ry Jean d'Ormesson Bouddha Alphonse de Lamartine Pierre Dac Jules Renard Philippe Geluck Marc AurĂšle Gainsbourg Mahomet SĂ©nĂšque Winston Churchill AbbĂ© Pierre Coco Chanel Abd el-Kader Paul ValĂ©ry Paulo Coelho Aristote Sigmund Freud Charles de Gaulle William Shakespeare Albert Camus Bob Marley Charlie Chaplin Jean Gastaldi Georges Clemenceau Edgar Allan Poe Khalil Gibran AverroĂšs MoliĂšre Marcel Proust HonorĂ© de Balzac Charles Baudelaire Guy de Maupassant Jean de la Fontaine Emile Zola Pierre Corneille Alfred de Musset Jean Racine Paul Verlaine Arthur Rimbaud Gustave Flaubert Albert Camus George Sand Stendhal Jules Verne Alexandre Dumas RenĂ© Descartes Jacques PrĂ©vert Denis Diderot Alphone Daudet Guillaume Apollinaire Charles Perrault Franz Kafka Madame de La Fayette Jacques-BĂ©nigne Bossuet ThĂ©ophile Gautier Johann Wolfgang von Goethe Michel de Montaigne Fiodor DostoĂŻevski Anatole France Nicolas Boileau Edgar Allan Poe Francoise Sagan Louis Aragon Prosper MĂ©rimĂ©e Arthur Conan Doyle Francois Rabelais Agatha Christie Boris Vian Marquis de Sade Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux Blaise Pascal Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais Samuel Beckett Quelques thĂšmes de citations et de proverbes Age Animal AmitiĂ© Amour Art Avenir BeautĂ© Avoir Bonheur Conscience Couple Confiance Courage Culture DĂ©sir Dieu Education Enfant Espoir Etre Faire Famille Femme Guerre Homme Humour Jeunesse Joie Justice LibertĂ© Mariage MĂ©re Monde Morale Naissance Nature Paix Passion PĂšre Peur Plaisir Politique Raison Religion RĂȘve Richesse Sagesse Savoir Science SĂ©duction SociĂ©tĂ© Souffrance Sport Temps TolĂ©rance Travail VĂ©ritĂ© Vie Vieillesse Voyage Vingtet cent sont variables quand ils sont placĂ©s devant les mots « millier », « million », « milliard » car ceux-ci sont des noms et non des nombres. Exemples 200 000 000 d'annĂ©es = deux cents millions d’annĂ©es 300 milliers d'habitants = trois cents milliers d’habitants. Quand 20 et 100 indiquent des rangs; Vingt et cent sont invariables car ils sont alors des En sortant des camps il y a 75 ans, les dĂ©portĂ©s survivants essaient de reconstruire leurs vies tout en ayant le besoin de tĂ©moigner sur ce qu'ils ont vĂ©cu. Mais est-il encore possible d'ĂȘtre heureux aprĂšs un tel traumatisme ? Si le corps est libre, l'esprit l'est-il aussi ?Simone Veil au camp de concentration de Natzweiler-Struthof en France, le 19 mai 1985Qui sont les tĂ©moins ? OĂč sont les tĂ©moins ? Qui est capable de dire ce qu’il s’est passĂ© ? Qui certifie ou peut certifier qu’il a vu et entendu ? En exergue de son livre Les InsĂ©parables. Simone Veil et ses sƓurs, l’historienne Dominique Missika rapporte les propos de Jean d’Ormesson lors de la rĂ©ception de Simone Veil Ă  l’AcadĂ©mie française L’histoire commence comme un conte de fĂ©es. Il Ă©tait une fois, sous le soleil du Midi, Ă  Nice, une famille sereine et unie, Ă  qui l’avenir promettait le bonheur et la paix ». Dominique Missika ajoute quelques mots effrayants Le suite est une tragĂ©die ».Qui sont les tĂ©moins ? OĂč sont-ils ? Et qui sont les tĂ©moins des tĂ©moins de cette tragĂ©die ?Nous recevons ce matin l'historienne, Ă©ditorialiste et journaliste Dominique Missika. Ancienne productrice chez France Culture et rĂ©dactrice en chef de la chaĂźne Histoire entre 1997 et 2004, elle est notamment l'auteure de l'ouvrage Les insĂ©parables. Simone Veil et ses sƓurs, paru au Seuil en 2018. La rĂ©alisatrice de documentaires Sophie Nahum est aussi notre invitĂ©e. Depuis trois ans, elle se consacre au projet "Les derniers", oĂč elle rencontre et recueille les tĂ©moignages des survivants de la Shoah. Elle en a tirĂ© un ouvrage, Les derniers, Ă©ditĂ© par les Ă©ditions Alisio et publiĂ© en 2020. Sons diffusĂ©s Archives Simone Veil dans Ça me dit l’aprĂšs-midi, France Culture, 13/01/2007Denise Vernay dans Femmes souffrantes ou le temps du malheur, France 3, 25/08/1989Claude Lanzmann dans Le Soir, France 3 - 02/03/1994Extrait de la web sĂ©rie Les derniers de Sophie NahumLecture par Olivier Martinaud extrait de Les derniers de Sophie Nahum, publiĂ© chez Alisio Musique Bande originale de la sĂ©rie The Leftovers par Max Richter
Professionde foi et autres poĂšmes. Profession de Foi Vous Ă©tiez cent, vous Ă©tiez des milliers Tous rĂ©unis en ce 14 juillet. Vous pouviez, ne serait-ce qu’un instant, Oublier le massacre du Bataclan. Vous Ă©tiez cent, vous Ă©tiez cent vingt mille À admirer les lumiĂšres qui scintillent. Ensemble, quelles qu’étaient vos confessions

Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliersNus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et centLes Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez en regardant au loin, en regardant dehors Votre chair était tendre à leurs chiens policiers Jean FerratLe Dico des citations

Desmilliers de personnes tentaient toujours par tous les moyens de fuir le nord-est du Mozambique, en proie depuis mercredi Ă  une attaque jihadiste d'ampleur qui a fait des dizaines de tuĂ©s PubliĂ© le 21 FĂ©vrier 2013 par annepaingault NUITS ET BROUILLARS Paroles et Musique Jean Ferrat 1° Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers Nus et maigres, tremblants dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent. Ils se croyaient des hommes n'Ă©taient plus que des nombres, Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s, DĂšs que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ©. 2° La fuite monotone et sans hĂąte du temps Survivre encore un jour, une heure obstinĂ©ment Combien de tours de roues d'arrĂȘts ou de dĂ©parts, Qui n'en finissaient pas de distiller l'espoir. Ils s'appelaient Jean; Pierre, Natacha ou Samuel, Certains priaent JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vichnou D'autres ne priaent pas mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre Ă  genoux. 3° Ils n'arrivaient pas tous Ă  la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux Ils essaient d'oublier, Ă©tonnĂ©s qu'Ă  leur Ăąge Les veines de leurs bras soient devenues si bleus. Les allemands guettaient du haut des miradors, La lune se taisait comme vous vous taisiez, En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair Ă©tait tendre Ă  leurs chiens policiers. 4° On me dit aujourd'hui que ces mots n'ont plus cours Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour Que le sang sĂšche vite en entrant dans l'histoire Et qu'il ne sert Ă  rien de prendre une guitarre. Mais qui donc est de taille Ă  pouvoir m'arrĂȘter L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'Ă©tĂ©, Je twisterais les mots s'il fallait les twister Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous Ă©tiez. 5° Vous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliers Nus et maigres, tremblants dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battants Vous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent. googlesite-verification=J71R97SbN_9PMSxBKA2m8BrJnRPkb8fbmQvyTiqVVYA

DivinitĂ©s rĂ©gnant en maĂźtre sur terre, faisant de ces horizons, leur royaume en tout point. Murmures glorieux d’une Ă©poque oĂč les hommes Ă©taient des sujets, sans distinctions, honorant ceux qui Ă©taient capables de dĂ©placer des montagnes, faire pleurer le ciel ou encore, anĂ©antir les terres d’un souffle glacĂ©. Un rĂšgne dangereux, passionnĂ© qui mena Ă  de nombreuses destructions, et ce, jusqu’à ce que les Dieux dĂ©cident de monter dans les cieux, offrant aux hommes la terre comme cadeaux. Jamais ils ne devaient oublier, et cette raison mena Ă  de nombreuses naissances. Dieux qui revenaient, en silence sur terre, envirant les femmes, les envoĂ»tants pour finir sous des draps blancs Ă  leurs cĂŽtĂ©s. Naissances donnant vie Ă  des ĂȘtres capables de pouvoirs dĂ©sarçonnant. Enfant pouvant contrĂŽler la terre, garçonnet capable de faire pousser les arbres, fillette contrĂŽlant les flammes
l’air des HematoĂŻ commença. Descendances divines, ils furent durant trĂšs longtemps ceux que l’on acculait de trĂ©sors, de sourires, de mĂ©fiances. Ils prirent la place des leurs parents, s’imposant comme roi et comme reine, noblesse d’infortune, commencement d’une monarchie sanglante. Et durant des siĂšcles, les HĂ©matoĂŻ prirent place sur les trĂŽnes, dans les chĂąteaux, imposant leur pouvoir, leur fĂ©rocité jusqu’au jour oĂč ils se firent de moins en moins nombreux. Naissances ne donnant vie qu’à la mort, grossesses devenues rares, fausses couches nombreuses. La lignĂ©e, doucement, commençait Ă  s’éteindre avec les pouvoirs, dĂ©clinant avec le temps. Voyant leur espĂšce s’enfuir dans les brumes d’un passĂ© Ă©vident, les scientifiques furent exploitĂ©s pour trouver une solution, malmenĂ©s pour trouver un remĂšde contre cette stĂ©rilitĂ© visant les femmes et non, les hommes. Des annĂ©es plus tard, les mĂšres porteuses furent trouvĂ©es. Femme portant un gĂšne spĂ©cial, capable de stabiliser le gĂšne des hĂ©matoĂŻ et de donner, ainsi, naissance Ă  un enfant, une nouvelle Ăšre vit le jour. Toujours stĂ©riles, ils parviennent Ă  se reproduisent via ces femmes du peuple, naissant de part et d’autre des continents, programmĂ©es pour faire persister la divinitĂ© en physiques; divines et naissancescaractĂ©ristiques physiques Physiquement, les HematoĂŻ ne changent pas du reste des mortels. Ils ont tous le sang de couleur carmin, un physique qui diffĂšre selon leurs origines de naissance. NĂ©anmoins, il a Ă©tĂ© prouvĂ© scientifiquement, que les femmes sont stĂ©riles et ne peuvent donc plus porter d’enfants de façon naturelle, ayant recourt, de ce fait, aux mĂšres porteuses. De façon visuelle, il est Ă©galement, mais de façon subtile, remarquĂ© que les HematoĂŻ possĂšdent une peau plus pĂąle que la normale. NĂ©anmoins, ceux-ci n’ont aucun mal Ă  se fondre dans la foule des mortels. De façon plus, physionomique, les HematoĂŻ ont un organisme qui Ă©vacue naturellement les graisses et dĂ©chets organiques de façon, rapide. Vous ne trouverez donc pas d’obĂ©sitĂ© chez eux. Pour autant, ceux-ci peuvent tomber malade, et mourir suite Ă  une maladie plus fulgurante. Ils sont mĂȘme considĂ©rĂ©s comme, plus fragiles, que les mortels. Beaucoup disent que c’est dĂ» Ă  leur manque d’investissement dans le monde, d’autres, que leur sang divin diluĂ© leur occasionne une tare gĂ©nĂ©tique. À ce jour, rien n’a Ă©tĂ© pour autant divines Descendants divins, chaque HematoĂŻ vient au monde avec une capacitĂ© qui est propre Ă  sa famille, transmise par son pĂšre. L’enfant aura donc, sans aucun doute, la mĂȘme capacitĂ© divine que son gĂ©niteur, liĂ©e Ă  un des cinq Ă©lĂ©ments. Pouvoir qui se manifeste dans l’enfance, vers l’ñge de huit ans, celui-ci est souvent dĂ©clenchĂ© par une Ă©motion forte colĂšre, tristesse, peur
. Au dĂ©but, l’HĂ©matoĂŻ ne contrĂŽlera en rien son don, et c’est pour cette raison, qu’un apprentissage rigoureux lui sera donnĂ© par son pĂšre, gĂ©nĂ©ralement, ou encore, par un maĂźtre de son Ă©lĂ©ment. Plus l’enfant grandit, et plus sa capacitĂ© devient contrĂŽlable, nĂ©anmoins, il faut des annĂ©es d’apprentissages, avant que l’élĂ©ment soit maĂźtrisĂ© de façon absolue. Vers l’ñge de vingt-cinq ans, le jeune adulte passera un test Ă  SenĂ©tha, auprĂšs des maisons nobles et de la royautĂ©. Les rĂ©sultats de ce test mĂšneront Ă  un numĂ©ro de stade stade 1,2,3,4,5, qui identifiera la puissance de l’hĂ©matoĂŻ. DĂ» Ă  l’amoindrissement des HematoĂŻ et de la puissance de leurs dons, les hommes dĂ©passant le stade 3 sont extrĂȘmement prisĂ©s pour les mariages arrangĂ©s. Malheureusement, depuis prĂšs de cent-cinquante ans, aucun HematoĂŻ n’a dĂ©passĂ© le stade Autrefois, pour donner naissance Ă  un HematoĂŻ, il fallait deux parents possĂ©dant du sang divin dans les veines. Malheureusement, depuis plusieurs annĂ©es, les choses ont changĂ©. Femmes devenues stĂ©riles pour causes inconnues, les mĂšres porteuses sont devenues la maniĂšre, unique, de donner naissance Ă  un enfant viable. InsĂ©minĂ©e par le pĂšre, de façon mĂ©dicale la plupart du temps, certains HematoĂŻ mĂąles se permettent de faire les choses Ă  l’ancienne, la rĂ©ussite de l’opĂ©ration peut prendre jusqu’à deux voir trois ans pour les moins chanceux. La durĂ©e est donc variable. Neuf mois de gestation donneront naissance Ă  un enfant, ressemblant physiquement au pĂšre, et Ă  la mĂšre porteuse. Depuis peu, des anomalies ont Ă©tĂ© dĂ©couvertes un peu partout dans le monde, des Apollyons. Enfants ou adultes, capables de contrĂŽler les cinq Ă©lĂ©ments et non pas un seul, chez les mortels. Et pourtant, chez les HematoĂŻ, Ă©galement, se trouvent ces anomalies qui se font plus que discrĂštes sous peine de mort sans utilesChronologie ― Pouvoirs ― Les mĂšres porteuses ― Les familles HematoĂŻ ―Les Apollyons

Paroleset musique : Jean Ferrat, 1963. Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers. Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés. Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants. Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent. Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres. Depuis longtemps leurs dés
alpha J artiste Jean Ferrat titre Nuit et brouillard Les paroles de la chanson Nuit et brouillard »Jean Ferrat Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliersNus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©sQui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battantsIls Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et centIls se croyaient des hommes, n’étaient plus que des nombresDepuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©sDĂšs que la main retombe il ne reste qu’une ombreIls ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ©La fuite monotone et sans hĂąte du tempsSurvivre encore un jour, une heure, obstinĂ©mentCombien de tours de roues, d’arrĂȘts et de dĂ©partsQui n’en finissent pas de distiller l’espoirIls s’appelaient Jean-Pierre, Natacha ou SamuelCertains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou VichnouD’autres ne priaient pas, mais qu’importe le cielIls voulaient simplement ne plus vivre Ă  genouxIls n’arrivaient pas tous Ă  la fin du voyageCeux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureuxIls essaient d’oublier, Ă©tonnĂ©s qu’à leur ĂągeLes veines de leurs bras soient devenues si bleuesLes Allemands guettaient du haut des miradorsLa lune se taisait comme vous vous taisiezEn regardant au loin, en regardant dehorsVotre chair Ă©tait tendre Ă  leurs chiens policiersOn me dit Ă  prĂ©sent que ces mots n’ont plus coursQu’il vaut mieux ne chanter que des chansons d’amourQue le sang sĂšche vite en entrant dans l’histoireEt qu’il ne sert Ă  rien de prendre une guitareMais qui donc est de taille Ă  pouvoir m’arrĂȘter?L’ombre s’est faite humaine, aujourd’hui c’est l’étĂ©Je twisterais les mots s’il fallait les twisterPour qu’un jour les enfants sachent qui vous Ă©tiezVous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliersNus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©sQui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battantsVous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent les mots « cent » et « vingt » qui prennent un s au pluriel seulement lorsqu’ils ne sont pas suivis par un autre nombre. DÉFINITION 2 – Rang d’un chiffre Tout nombre Ă©crit en Ă©criture dĂ©cimale se compose de tranches de 3 chiffres, chaque tranche reprĂ©sentant une classe diffĂ©rente : (de droite Ă  gauche) classe des unitĂ©s, classe des milliers, classe des millions,
Ce blog est personnel, la rĂ©daction n’est pas Ă  l’origine de ses contenus. "Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers..." Ils furent quatre millions et plus dans ces annĂ©es d'horreur. Merci Monsieur Jean Ferrat pour ces vers d'une immense force Ă  la Bastille nous Ă©tions vingt et cent, nous Ă©tions des milliers, nous Ă©tions 180000, n'en dĂ©plaise Ă  tous les grincheux, pisse-vinaigre et autres, vomissant de mauvaise foi. Nos policiers seraient-ils poĂštes ou tout simplement des illettrĂ©s, vu qu'ils n'ont compter que 30000 personnes. Savent-ils compter au delĂ  de 30000? Pourtant oui puisque ils ont comptabilisĂ© plus de monde Ă  la manif contre le mariage pour tous. La rĂ©elle vĂ©ritĂ© est que cette manifestation est discrĂ©ditĂ©e par la peur qu'elle engendre. Aujourd'hui au journal de FR2, pas un mot de la manif. Le PS est dĂ©passĂ©e par sa gauche et c'est pour cette raison que l'on voit autant de ministres allumer des contre feux. La droite est dĂ©passĂ©e par les affaires Ă  venir oĂč les prĂ©sidentiables SarCopee seront inĂ©ligibles Ă  vie j'espĂšre. Hier, Ă  la Bastille, nous n'Ă©tions pas vingt et cent, nous Ă©tions 180000. Ceux qui Ă©taient presents le savent trĂšs bien. Et dites vous bien...ce n'est qu'un dĂ©but. Les articles les plus lus Journal — Les affaires financiĂšres de La France insoumise RecommandĂ©s par nos abonnĂ©es
lls Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers. Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants ». L’émotion Ă©tait palpable lorsque la voix de Jean Ferrat s’est Ă©levĂ©e aprĂšs que Jean-Jacques Thomas ait repris les paroles de « Nuit et brouillard ». Il est vrai que la libĂ©ration des camps n’est pas Jean Ferrat "Nuit et brouillard" Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des Jean Ferrat "Nuit et brouillard" LĂ©o FerrĂ© "L'affiche rouge" Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent Vous n'avez rĂ©clamĂ© ni la gloire ni les larmes Ni l'orgue ni la priĂšre aux agonisants Onze ans dĂ©jĂ  que cela passe vite onze ans Vous vous Ă©tiez servis simplement de vos armes La mort n'Ă©blouit pas les yeux des Partisans Ils se croyaient des hommes, n'Ă©taient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s DĂšs que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ© La fuite monotone et sans hĂąte du temps Survivre encore un jour, une heure, obstinĂ©ment Combien de tours de roues, d'arrĂȘts et de dĂ©parts Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vichnou D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre Ă  genoux Ils n'arrivaient pas tous Ă  la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux Ils essaient d'oublier, Ă©tonnĂ©s qu'Ă  leur Ăąge Les veines de leurs bras soient devenues si bleues Les Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair Ă©tait tendre Ă  leurs chiens policiers On me dit Ă  prĂ©sent que ces mots n'ont plus cours Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour Que le sang sĂšche vite en entrant dans l'histoire Et qu'il ne sert Ă  rien de prendre une guitare Mais qui donc est de taille Ă  pouvoir m'arrĂȘter ? L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'Ă©tĂ© Je twisterais les mots s'il fallait les twister Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous Ă©tiez Vous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battants Vous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent Vous aviez vos portraits sur les murs de nos villes Noirs de barbe et de nuit hirsutes menaçants L'affiche qui semblait une tache de sang Parce qu'Ă  prononcer vos noms sont difficiles Y cherchait un effet de peur sur les passants Nul ne semblait vous voir Français de prĂ©fĂ©rence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais Ă  l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient Ă©crit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes matins en Ă©taient diffĂ©rents Tout avait la couleur uniforme du givre A la fin fĂ©vrier pour vos derniers moments Et c'est alors que l'un de vous dit calmement Bonheur Ă  tous Bonheur Ă  ceux qui vont survivre Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses Adieu la vie adieu la lumiĂšre et le vent Marie-toi sois heureuse et pense Ă  moi souvent Toi qui vas demeurer dans la beautĂ© des choses Quand tout sera fini plus tard en Erevan Un grand soleil d'hiver Ă©claire la colline Que la nature est belle et que le cƓur me fend La justice viendra sur nos pas triomphants Ma MĂ©linĂ©e ĂŽ mon amour mon orpheline Et je te dis de vivre et d'avoir un enfant Ils Ă©taient vingt et trois quand les fusils fleurirent Vingt et trois qui donnaient le cƓur avant le temps Vingt et trois Ă©trangers et nos frĂšres pourtant Vingt et trois amoureux de vivre Ă  en mourir Vingt et trois qui criaient la France en s'abattant Formes Les dĂ©terminants numĂ©raux cardinaux sont en nombre illimitĂ© puisqu'il existe une infinitĂ© de nombres. Ils peuvent ĂȘtre : . prĂ©conisent de lier par des traits d'union tous les Ă©lĂ©ments d'un numĂ©ral composĂ©, qu'ils soient infĂ©rieurs ou supĂ©rieurs Ă  On est tous bouleversĂ©s par cette chanson qui Ă©voque la plus grande infamie, la plus grande tragĂ©die du XXĂšme siĂšcle les dĂ©portations, toutes leurs horreurs, la peur, l'angoisse d'ĂȘtres humains qu'on a vouĂ©s Ă  la mort. La chanson s'ouvre sur l'Ă©vocation du nombre des victimes "vingt et cent, des milliers". La gradation met en Ă©vidence l'ampleur du massacre. On ne voit plus des ĂȘtres humains, mais une masse informe de silhouettes, designĂ©es par le pronom "ils", et ces ĂȘtres "nus, maigres et tremblants" enfermĂ©s dans "des wagons plombĂ©s" sont l'image mĂȘme du dĂ©sarroi sans dĂ©fense, humiliĂ©s par la nuditĂ© et la peur, on les voit "dĂ©chirer la nuit de leurs ongles battants". Cette image terrible restitue une sorte de rĂ©volte impossible et inutile, puisqu'elle s'acharne sur une ombre, une entitĂ© inconnue, et obscure... On a enlevĂ© Ă  ces hommes, devenus "des nombres", toute humanitĂ© et toute espĂ©rance, car leur destin Ă©tait fixĂ© par leurs origines mĂȘmes "Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s", expression irrĂ©mĂ©diable qui suggĂšre qu'on ne leur a laissĂ© aucune Ă©chappatoire... On leur a ĂŽtĂ© tout avenir de bonheur, symbolisĂ© par l'Ă©tĂ© qu'ils ne devaient plus revoir... La description de ces convois de la mort est associĂ©e Ă  la fuite monotone du temps, Ă  l'obsession de survivre, malgrĂ© tout. Les Ă©numĂ©rations restituent une attente interminable et terrible "un jour, une heure, obstinĂ©ment Combien de tours de roues, d'arrĂȘts et de dĂ©parts." Quelques prĂ©noms sont, enfin, citĂ©s "Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel", ces ĂȘtres nous semblent, alors, d'autant plus proches et familiers, on perçoit une diversitĂ© de religions dans les destinataires de leurs priĂšres "Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vichnou.", d'autres ne prient pas, mais tous refusent la soumission qu'on leur a imposĂ©e, marquĂ©e par une expression imagĂ©e et forte, "vivre Ă  genoux..." La mort au bout du chemin pour beaucoup et un dĂ©sespoir sans fin pour ceux qui en sont revenus, tel Ă©tait le sort qui leur Ă©tait rĂ©servĂ©... La question posĂ©e "ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux ?" suggĂšre une impossibilitĂ© irrĂ©mĂ©diable. Les veines devenues si bleues sur leur bras, aprĂšs toutes ces Ă©preuves, soulignent encore les souffrances et les dĂ©tresses vĂ©cues dans les camps. L'Ă©vocation des miradors oĂč guettaient les allemands suffit Ă  dessiner le dĂ©cor lugubre de ces camps la surveillance, la peur permanente, marquĂ©e par le silence..."la lune se taisait comme vous vous taisiez", comme si le paysage se mettait Ă  l'unisson de la douleur des dĂ©portĂ©s.... L'espoir de l'Ă©vasion se traduit par le verbe "regarder" rĂ©pĂ©tĂ©... le regard porte au loin, dans une envie de fuir ces lieux sinistres, mais la prĂ©sence des chiens policiers apparaĂźt menaçante dans l'expression contrastĂ©e "Votre chair Ă©tait tendre Ă  leurs chiens policiers." Certains voudraient oublier tous ces Ă©vĂ©nements, les taire, mais le poĂšte affirme la nĂ©cessitĂ© de dire l'atroce rĂ©ailtĂ©, mĂȘme Ă  travers une chanson... oui, pour de telles causes, l'engagement est nĂ©cessaire, pour Ă©viter l'oubli, car "le sang sĂšche vite en entrant dans l'histoire". Au poĂšte engagĂ©, les chansons d'amour ne suffisent pas, quoi que puisse dire la foule reprĂ©sentĂ©e ici par le pronom "on". Le poĂšte veut crier au monde ce qui s'est passĂ©, il refuse l'oubli et personne ne l'arrĂȘtera "Mais qui donc est de taille Ă  pouvoir m'arrĂȘter ?" La question oratoire montre la force d'une conviction, et le poĂšte est prĂȘt Ă  "twister" les mots pour faire entendre sa voix et perpĂ©tuer la mĂ©moire de ces ĂȘtres humains, parfois oubliĂ©s... Jean Ferrat redonne vie Ă  toutes ces victimes de la barbarie, en employant dans le dernier couplet le pronom "vous", il rappelle Ă  l'humanitĂ© ces ĂȘtres martyrisĂ©s, il semble vouloir, aussi, abolir leur anonymat...
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Lesnombres de 21 Ă  29. La façon qu’a la langue anglaise de crĂ©er des nombres de vingt-et-un Ă  vingt-neuf est simple et a l’avantage d’ĂȘtre reproduite pour toutes les dizaines suivantes jusqu’à ce que l’on arrive Ă  cent. Ainsi, il suffit de prendre la dizaine en question et de la faire suivre d’un tiret et du chiffre des unitĂ©s. Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et centIls se croyaient des hommes, n'Ă©taient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s DĂšs que la main retombe il ne reste qu'une ombre Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ©La fuite monotone et sans hĂąte du temps Survivre encore un jour, une heure, obstinĂ©ment Combien de tours de roues, d'arrĂȘts et de dĂ©parts Qui n'en finissent pas de distiller l'espoirIls s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vichnou D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre Ă  genouxIls n'arrivaient pas tous Ă  la fin du voyage Ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux Ils essaient d'oublier, Ă©tonnĂ©s qu'Ă  leur Ăąge Les veines de leurs bras soient devenues si bleuesLes Allemands guettaient du haut des miradors La lune se taisait comme vous vous taisiez En regardant au loin, en regardant dehors Votre chair Ă©tait tendre Ă  leurs chiens policiersOn me dit Ă  prĂ©sent que ces mots n'ont plus cours Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour Que le sang sĂšche vite en entrant dans l'histoire Et qu'il ne sert Ă  rien de prendre une guitareMais qui donc est de taille Ă  pouvoir m'arrĂȘter ? L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'Ă©tĂ© Je twisterais les mots s'il fallait les twister Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous Ă©tiezVous Ă©tiez vingt et cent, vous Ă©tiez des milliers Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s Qui dĂ©chiriez la nuit de vos ongles battants Vous Ă©tiez des milliers, vous Ă©tiez vingt et cent
JeanFerrat "Nuit et brouillard" Ils étaient vingt et cent, ils étaient des

et de jeunes gens dans cet endroit. en jonge mensen in die ne comprit pas le fait que ces HĂ©breux avaient une religion JĂ©rusalem comme le haut lieu de leur foi et respectaient le sanhĂ©drin comme le plus haut tribunal de la besefte niet dat deze HebreeĂ«n een werkelijke religie haddeneen geloof waarvoor zij bereid waren te sterven en dat overal door het rijk verspreid vele miljoenen Joden zich naar Jeruzalem richtten als het heiligdom van hun geloof en het Sanhedrin respecteerden als de hoogste rechtbank op rĂ©sumĂ© des millions d'Ɠufs ont dĂ» ĂȘtre dĂ©truits car ils contenaient des teneurs en fipronil supĂ©rieures Ă  la norme et n'Ă©taient donc pas conformes mĂȘme s'ils ne comportaient pas de risque
.Samengevat werden miljoenen eieren vernietigd omdat ze sporen van fipronil bevatten boven de norm en dus niet conform waren zonder dat zij een risico avaient littĂ©ralement des millions de vidĂ©os et ilsĂ©taient classĂ©s dans l'amateur et quand je dis amateur je veux dire amateur avec la poignĂ©e de vidĂ©os qui Ă©taient aussi crues que hadden letterlijk miljoenen video's en ze varieerden van amateur en als ik amateur zeg dan bedoel ik amateur tot het uiterste tot video's die zo rauw zijn als maar En mars dernier ilsĂ©taient des millions Ă  dĂ©filer dans les rues pour protester contre la guerre Ă  Hongkong et Ă  Londres Ă  Jakarta et Ă  Berlin Ă  Hiroshima et Ă  Rio de Janeiro Ă  Washington et Ă  herinnert zich nog wel datvier maanden geleden in maart miljoenen de straat opgingen om tegen de oorlog te protesteren in Hongkong en Londen in Jakarta en Berlijn in Hiroshima en Washington in Rio de Janeiro en ce temps il avait encore sentir pas dĂ©veloppĂ© de plantes oud'animaux sur les terres ainsi donc ils Ă©taientdes animaux marins en haute nĂ©cessitĂ© de nouvelles algues et autres aliments parce dĂ©veloppĂ© algues et et permis aux animaux de vivre sous la surface pour un peu plus de 100 des millions d' deze tijd zou het nog steeds wordt niet ontwikkeld planten ofdieren op het land dus daarom waren zij zeedieren in hoge nood aan een nieuwe algen en ander voedsel algen en daarom ontwikkeld en maakte het mogelijk voor de dieren om onder de oppervlakte te leven voor een paar honderd miljoen l'heure actuelle il ne reste plus que Ă©lĂ©phants dans le mondeVandaag zijn er over de hele wereld nog maar hebben er wel 6 miljoen gedood omdat ze niet blond met blauwe ogen que les dommages fussent assezlimitĂ©s en valeur absolue30172 millions EUR ils Ă©taient suffisamment graves pour dĂ©passer le seuil de 06% du RNB de Malte 2426 millions de schade in absolute termen vrij beperkt was30172 miljoen euro werd de drempel van 06% van het BNI van MaltaEn parlant de dinosauresles requins sont en gros les mĂȘmes poissons qu'ils Ă©taient il y a 300 millions d' dinosaurussen gesprokenhaaien zijn eigenlijk dezelfde vissen die ze 300 miljoen jaar geleden centre de l'archipel Cyclades Ă©taient créés il y a des millions d'annĂ©es aprĂšs un certain nombre de convulsions gĂ©ologiques des tremblements de terre et des Ă©ruptions auxquelles ils doivent leur forme particuliĂšre en combination de la composition de leurs het centrum van archipel werden Cycladen gecreeerd miljoen jaar geleden na de geologic uitbarstingen aardbevingen en uitbarstingen die ook hun eigenaardige vorm zo aan de samenstelling van hun grond verschuldigd y avait 5 millions de chĂŽmeurs dans l'ensemble de la CE en 1977;In 1977 waren er in de gehele Gemeenschap 5 miljoen werklozen;S'il y a bien un racisme qui sĂ©vit c'est celui de M. Ford dont les maĂźtres Ă  penseront assassinĂ© 200 millions de personnes dans le monde parce qu'ils Ă©taient paysans bourgeois ou er al racisme is dan is het wel het racisme van mijnheer Ford en degenen die zijn gedachtengoed hebben uitgevondenen in de hele wereld meer dan 200 miljoen mensen hebben vermoord omdat het boeren burgers of christenen internationale du TravailOIT estime queDe Internationale ArbeidsorganisatieILO schat dat er164 miljoen migrerende werknemers zijn dat is een stijging met 9% sinds 2013 toen het geschatte aantal migrerende werknemers 150 miljoen Ă©taient de 1 844 millions d'euros au premier trimestre de l'annĂ©e 2012 en raison du rĂ©sultat exceptionnel de 1 790 millions d'euros enregistrĂ© Ă  l'occasion de la cession par le Groupe d'une participation de 287% dans KlĂ©pierre bedroeg in het eerste kwartaal van 2012 miljoen euro wegens het uitzonderlijke resultaat van miljoen euro dat werd gerealiseerd op de verkoop door de groep van een participatie van 287% in KlĂ©pierre mystĂšre a donnĂ©naissance Ă  de nombreuses lĂ©gendes et des hypothĂšses mais il est certainement encore inconnue pourquoi les dinosaures sont devenus millions Ă©teints il ya d'annĂ©es mais dĂ©jĂ  bien connu de la science comme ils Ă©taient de manger comment ils vivaient et combien de variĂ©tĂ©s de ces mysterie heeft geleidtot vele legendes en hypothesen maar zeker is het nog onbekend waarom de dinosauriĂ«rs uitstierven miljoenen jaren geleden maar nu al goed bekend bij de wetenschap als ze waren dan eet hoe ze leefden en hoe vele variĂ«teiten van deze joekels. quand l'Univers Ă©tait beaucoup plus jeune!Dus we zien eigenlijk hoe die objecten er miljoenen of miljarden jaren geleden uit zagen! PME avec un capital vertoonden wel belangstelling maar waren niet bereid om miljoenen te storten op de rekening van een kleine KMO met een beperkt l'heure actuelle le systĂšme mondialcompte plus de 100 millions de blogs alors qu'en 2004 date de lancement de la prĂ©sente lĂ©gislature parlementaire ils Ă©taient wereldwijde systeem bevat momenteelmeer dan honderd miljoen blogs. Toen deze zittingsperiode in 2004 begon waren er nog geen et Passepartout comprirent qu'ils Ă©taient entrĂ©s dans une tabagie hantĂ©e de ces misĂ©rables hĂ©bĂ©tĂ©s amaigris idiots auxquels la mercantile Angleterre vend annuellement pour deux cent soixante millions de francs de cette funeste drogue qui s'appelle l'opium!Fix en Passepartout begrepen dat zij eene herberg waren binnengetreden die gewoonlijk bezocht werd door de ongelukkigen welke door het opium-schuiven worden bedwelmd waarvan het handeldrijvende Engeland jaarlijks voor honderd dertig millioen gulden verkoopt!En les observant les astronomes ont rĂ©ussi Ă  voir la lumiĂšre qui avait voyagĂ© pendant prĂšs de 13 000 millions d'annĂ©es; en d'autres motsDoor te kijken naar deze zeer verre objecten zijn astronomen in staat licht te zien dat al 13miljard jaar onderweg is dus zien ze die objecten nu zoals ze eruit zagen minder dan 1 miljard jaar na de Big ils disent que Novus leur planĂšte d'originea une population de plusieurs millions et Ă  les entendre ils Ă©taient trĂšs avancĂ©s zij beweren dat Novus de Planeet waarzij vandaan kwamen een miljoenenpopulatie heeft en zo te horen waren zij technologisch behoorlijk la pĂ©riode cambrienne ils Ă©taient prĂ©sentĂ©s d'abord par les habitants des mers trilobitami qui ont disparu dans la pĂ©riode de Perm durant de 286 Ă  248 millionsdes annĂ©es en Cambrian tijdvak zij at voorop werden van obitatelyami zeeen trilobitami welk vymerli in permskom tijdvak dlivshemsya met 286 tot toe 248 mln gepresenteerd. Jaren les donnĂ©es disponibles environ 4 millions de personnes soit 16% de la main d'Ɠuvre travaillent actuellement plusde 48 heures par semaine alors qu'ils n'Ă©taient que millionssoit 15% au dĂ©but des annĂ©es de beschikbare gegevens zouden ongeveer 4 miljoen personen dus 16% van de arbeidskrachten momenteel meer dan48 uur per week werken terwijl zij begin 1990 nog maar met 33 miljoen dus 15% waren.

Nuitet brouillard Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers, Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants. Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent. Ils se croyaient des hommes, n'Ă©taient plus que des nombres. Depuis longtemps, leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s. Il y a 75 ans, le 27 janvier 1945, les troupes soviĂ©tiques arrivaient devant les camps d'extermination d'Auschwitz Birkenau. Cet Ă©vĂ©nement, que l’on nomme aujourd’hui souvent libĂ©ration des camps », signe l’évacuation de 7 000 survivants. C’est aussi une prise de conscience mondiale, violente, de la mise en Ɠuvre de l’anĂ©antissement des juifs d’Europe dont les consĂ©quences n’ont pas fini de se retrouver dans l'Ă©mission LE COURS DE L'HISTOIRE par Xavier MauduitTOUS LES ÉPISODES>>> Champ contre-champ, les images des camps75 ans aprĂšs la libĂ©ration des camps, restent les images. Mais pas seulement celles prises de l'extĂ©rieur, il existe quelques clichĂ©s rĂ©alisĂ©s par ceux...>>> Etudier et enseigner la Shoah, un dĂ©fi sans cesse renouvelĂ©Sur les 3 500 000 juifs que comptait la Pologne en 1939, 90 % furent exterminĂ©s. DĂšs lors, comment se dĂ©roula la libĂ©ration » des camps nazis en Pologne...>>> AprĂšs les camps, se libĂ©rerEn sortant des camps il y a 75 ans, les dĂ©portĂ©s survivants essaient de reconstruire leurs vies tout en ayant le besoin de tĂ©moigner sur ce qu'ils ont...>>> Ce que le monde doit Ă  l'hiver 1944-1945Aujourd'hui Xavier Mauduit s'entretient avec Ian Kershaw, historien britannique, biographe d’Hitler et spĂ©cialiste de l’Allemagne nazie.
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Donc: vingt et un, trente et un etc. Jusqu’à soixante et onze. Mais : quatre-vingt-un, quatre-vingt-onze. Dans tous les autres cas, il n’y a pas de trait d’union : quatre cent vingt-six, un million sept cent cinquante-quatre. Tout dĂ©pend ce que vous Ă©crivez, et surtout pour qui. Je ne crois pas que l’ancienne orthographe puisse On est tous bouleversĂ©s par cette chanson qui Ă©voque la plus grande infamie, la plus grande tragĂ©die du XXĂšme siĂšcle les dĂ©portations, toutes leurs horreurs, la peur, l'angoisse d'ĂȘtres humains qu'on a vouĂ©s Ă  la mort. La chanson s'ouvre sur l'Ă©vocation du nombre des victimes "vingt et cent, des milliers". La gradation met en Ă©vidence l'ampleur du massacre. On ne voit plus des ĂȘtres humains, mais une masse informe de silhouettes, designĂ©es par le pronom "ils", et ces ĂȘtres "nus, maigres et tremblants" enfermĂ©s dans "des wagons plombĂ©s" sont l'image mĂȘme du dĂ©sarroi sans dĂ©fense, humiliĂ©s par la nuditĂ© et la peur, on les voit "dĂ©chirer la nuit de leurs ongles battants". Cette image terrible restitue une sorte de rĂ©volte impossible et inutile, puisqu'elle s'acharne sur une ombre, une entitĂ© inconnue, et obscure... On a enlevĂ© Ă  ces hommes, devenus "des nombres", toute humanitĂ© et toute espĂ©rance, car leur destin Ă©tait fixĂ© par leurs origines mĂȘmes "Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s", expression irrĂ©mĂ©diable qui suggĂšre qu'on ne leur a laissĂ© aucune Ă©chappatoire... On leur a ĂŽtĂ© tout avenir de bonheur, symbolisĂ© par l'Ă©tĂ© qu'ils ne devaient plus revoir... La description de ces convois de la mort est associĂ©e Ă  la fuite monotone du temps, Ă  l'obsession de survivre, malgrĂ© tout. Les Ă©numĂ©rations restituent une attente interminable et terrible "un jour, une heure, obstinĂ©ment Combien de tours de roues, d'arrĂȘts et de dĂ©parts." Quelques prĂ©noms sont, enfin, citĂ©s "Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel", ces ĂȘtres nous semblent, alors, d'autant plus proches et familiers, on perçoit une diversitĂ© de religions dans les destinataires de leurs priĂšres "Certains priaient JĂ©sus, JĂ©hovah ou Vichnou.", d'autres ne prient pas, mais tous refusent la soumission qu'on leur a imposĂ©e, marquĂ©e par une expression imagĂ©e et forte, "vivre Ă  genoux..." La mort au bout du chemin pour beaucoup et un dĂ©sespoir sans fin pour ceux qui en sont revenus, tel Ă©tait le sort qui leur Ă©tait rĂ©servĂ©... La question posĂ©e "ceux qui sont revenus peuvent-ils ĂȘtre heureux ?" suggĂšre une impossibilitĂ© irrĂ©mĂ©diable. Les veines devenues si bleues sur leur bras, aprĂšs toutes ces Ă©preuves, soulignent encore les souffrances et les dĂ©tresses vĂ©cues dans les camps. L'Ă©vocation des miradors oĂč guettaient les allemands suffit Ă  dessiner le dĂ©cor lugubre de ces camps la surveillance, la peur permanente, marquĂ©e par le silence..."la lune se taisait comme vous vous taisiez", comme si le paysage se mettait Ă  l'unisson de la douleur des dĂ©portĂ©s.... L'espoir de l'Ă©vasion se traduit par le verbe "regarder" rĂ©pĂ©tĂ©... le regard porte au loin, dans une envie de fuir ces lieux sinistres, mais la prĂ©sence des chiens policiers apparaĂźt menaçante dans l'expression contrastĂ©e "Votre chair Ă©tait tendre Ă  leurs chiens policiers." Certains voudraient oublier tous ces Ă©vĂ©nements, les taire, mais le poĂšte affirme la nĂ©cessitĂ© de dire l'atroce rĂ©ailtĂ©, mĂȘme Ă  travers une chanson... oui, pour de telles causes, l'engagement est nĂ©cessaire, pour Ă©viter l'oubli, car "le sang sĂšche vite en entrant dans l'histoire". Au poĂšte engagĂ©, les chansons d'amour ne suffisent pas, quoi que puisse dire la foule reprĂ©sentĂ©e ici par le pronom "on". Le poĂšte veut crier au monde ce qui s'est passĂ©, il refuse l'oubli et personne ne l'arrĂȘtera "Mais qui donc est de taille Ă  pouvoir m'arrĂȘter ?" La question oratoire montre la force d'une conviction, et le poĂšte est prĂȘt Ă  "twister" les mots pour faire entendre sa voix et perpĂ©tuer la mĂ©moire de ces ĂȘtres humains, parfois oubliĂ©s... Jean Ferrat redonne vie Ă  toutes ces victimes de la barbarie, en employant dans le dernier couplet le pronom "vous", il rappelle Ă  l'humanitĂ© ces ĂȘtres martyrisĂ©s, il semble vouloir, aussi, abolir leur anonymat... Le blog VidĂ©o les mots VINGT et CENT s'Ă©crivent avec un S quand ils sont multipliĂ©s (deux cents, trois cents, quatre cents ) et qu'ils ne sont pas suivis d'un autre mot. - les mots MILLION et MILLIARD s'accordent comme des mots communs habituels : un million, deux millions
L'arrivĂ©e des soldats amĂ©ricains Ă  Mauthausen 75 ans aprĂšs la libĂ©ration des camps, restent les images. Mais pas seulement celles prises de l'extĂ©rieur, il existe quelques clichĂ©s rĂ©alisĂ©s par ceux qui l’ont vĂ©cu de l’intĂ©rieur mais comment et pourquoi risque-t-on sa vie Ă  faire des photos clandestines dans les camps ? lundi 27 janvier 2020 1943 Varsovie, Pologne. Photo prise par un commandant du Un rapport Ă  ses supĂ©rieurs a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© lors des procĂšs de Nuremberg comme preuve du terrorisme nazi dans la capitale polonaise. Sur les 3 500 000 juifs que comptait la Pologne en 1939, 90 % furent exterminĂ©s. DĂšs lors, comment se dĂ©roula la libĂ©ration » des camps nazis en Pologne ? Quelle fĂ»t la responsabilitĂ© des Polonais dans ce crime de masse et celle-ci est-elle clairement reconnue par le gouvernement polonais actuel ? mardi 28 janvier 2020 Simone Veil au camp de concentration de Natzweiler-Struthof en France, le 19 mai 1985. CrĂ©dit Gamma-Rapho via Getty Images En sortant des camps il y a 75 ans, les dĂ©portĂ©s survivants essaient de reconstruire leurs vies tout en ayant le besoin de tĂ©moigner sur ce qu'ils ont vĂ©cu. Mais est-il encore possible d'ĂȘtre heureux aprĂšs un tel traumatisme ? Si le corps est libre, l'esprit l'est-il aussi ? mercredi 29 janvier 2020 Staline, leader soviĂ©tique fait face au Premier britannique Clement Attlee et son ministre des Affaires Ă©trangers Anthony Eden, lors de la confĂ©rence de Potsdam, du 17 juillet au 02 aoĂ»t 1945 Dans le cadre de La Nuit des idĂ©es, grand entretien avec Ian Kershaw, historien britannique, biographe d’Hitler et spĂ©cialiste de l’Allemagne nazie. jeudi 30 janvier 2020 L'arrivĂ©e des soldats amĂ©ricains Ă  Mauthausen 75 ans aprĂšs la libĂ©ration des camps, restent les images. Mais pas seulement celles prises de l'extĂ©rieur, il existe quelques clichĂ©s rĂ©alisĂ©s par ceux qui l’ont vĂ©cu de l’intĂ©rieur mais comment et pourquoi risque-t-on sa vie Ă  faire des photos clandestines dans les camps ? lundi 29 juin 2020 1943 Varsovie, Pologne. Photo prise par un commandant du Un rapport Ă  ses supĂ©rieurs a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ© lors des procĂšs de Nuremberg comme preuve du terrorisme nazi dans la capitale polonaise. Sur les 3 500 000 juifs que comptait la Pologne en 1939, 90 % furent exterminĂ©s. DĂšs lors, comment se dĂ©roula la libĂ©ration » des camps nazis en Pologne ? Quelle fĂ»t la responsabilitĂ© des Polonais dans ce crime de masse et celle-ci est-elle clairement reconnue par le gouvernement polonais actuel ? mardi 30 juin 2020 Simone Veil au camp de concentration de Natzweiler-Struthof en France, le 19 mai 1985. CrĂ©dit Gamma-Rapho via Getty Images En sortant des camps il y a 75 ans, les dĂ©portĂ©s survivants essaient de reconstruire leurs vies tout en ayant le besoin de tĂ©moigner sur ce qu'ils ont vĂ©cu. Mais est-il encore possible d'ĂȘtre heureux aprĂšs un tel traumatisme ? Si le corps est libre, l'esprit l'est-il aussi ? mercredi 1 juillet 2020 Staline, leader soviĂ©tique fait face au Premier britannique Clement Attlee et son ministre des Affaires Ă©trangers Anthony Eden, lors de la confĂ©rence de Potsdam, du 17 juillet au 02 aoĂ»t 1945 Aujourd'hui Xavier Mauduit s'entretient avec Ian Kershaw, historien britannique, biographe d’Hitler et spĂ©cialiste de l’Allemagne nazie. jeudi 2 juillet 2020 À propos de la sĂ©rie Il y a 75 ans, le 27 janvier 1945, les troupes soviĂ©tiques arrivaient devant les camps d'extermination d'Auschwitz Birkenau. Cet Ă©vĂ©nement, que l’on nomme aujourd’hui souvent libĂ©ration des camps », signe l’évacuation de 7 000 survivants. C’est aussi
 Il y a 75 ans, le 27 janvier 1945, les troupes soviĂ©tiques arrivaient devant les camps d'extermination d'Auschwitz Birkenau. Cet Ă©vĂ©nement, que l’on nomme aujourd’hui souvent libĂ©ration des camps », signe l’évacuation de 7 000 survivants. C’est aussi une prise de conscience mondiale, violente, de la mise en Ɠuvre de l’anĂ©antissement des juifs d’Europe dont les consĂ©quences n’ont pas fini de se rĂ©vĂ©ler. Provenant de l'Ă©mission Le Cours de l'histoire, Du lundi au vendredi de 9h Ă  10h sur France CultureDu lundi au vendredi, le Cours de l'Histoire remet au goĂ»t du jour le rĂ©cit de l'Histoire, rĂ©servant un traitement Ă  toutes ses occurrences dans l'espace public comme dans les productions culturelles, tout en restant trĂšs attentif Ă  l'actualitĂ© de la recherche.
\n ils étaient des milliers ils étaient vingt et cent
Lirela vidĂ©o. La propagation des feux de forĂȘt et de broussaille a jetĂ© des dizaines de milliers de personnes cherchant refuge sur les routes de la province de l’Alberta, au Canada, jeudi 5
Nuit et Brouillard est une chanson de Jean Ferrat sortie en dĂ©cembre 1963 sur l'album du mĂȘme nom chez Barclay. Jean Ferrat en est l'auteur-compositeur-interprĂšte. L'heure Ă©tant Ă  la rĂ©conciliation avec l'Allemagne, la chanson fut interdite Ă  la radio et Ă  la tĂ©lĂ©vision oĂč, sous l'influence directe de l'ÉlysĂ©e, elle fut “fortement dĂ©conseillĂ©e” par l'ORTF. Elle passa tout de mĂȘme un dimanche Ă  midi sur la premiĂšre chaĂźne, dans l'Ă©mission Discorama de Denise Glaser. Jean Ferrat reçut pour cette chanson le grand prix du disque de l'AcadĂ©mie Charles-Cros en 1963. Encore Ă©tudiĂ©e aujourd'hui, c'est un des grands succĂšs du chanteur par sa beautĂ© musicale, ses paroles mais aussi par l'engagement politique important.
Lacolonisation de l’AmĂ©rique du Nord par les EuropĂ©ens commença dĂšs la fin du XVI e siĂšcle. Au cours des XVII e et XVIII e siĂšcles, elle Ă©tait menĂ©e essentiellement par trois pays, l’ Espagne, la France et l’ Angleterre, mais Ă©galement, dans une moindre mesure, par la Hollande et la SuĂšde .
Luc MoyĂšres J’écris sur tout
 et aussi sur rien, Car ça me fait du bien
 et ça me tient debout. J'essaie aussi de creuser mes sujets, pour Ă©crire vrai, et si possible, utile. Si me lire avait l’heu ... [+] Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent... l’air lancinant de Nuit et Brouillard me trotte en tĂȘte. Au fait, combien Ă©taient-ils voici un an, combien sont-ils aujourd’hui ? Combien.... Dans ce morne horizon se sont Ă©vanouis ? Combien ont disparu, dure et triste fortune... ? Non, mon esprit s’égare, entraĂźnĂ© par le charme des mots. Ne fuyons pas la question ce ne sont ni les marins, ni les capitaines que visait mon interrogation, ni d’ailleurs les dĂ©portĂ©s, quoi que... Je pensais en fait aux SDF sur Paris. La polĂ©mique a en effet rĂ©cemment lancĂ© une action mĂ©diatisĂ©e de recensement ponctuel, mais quiconque prend le mĂ©tro ou le RER tard le soir sait dĂ©jĂ , pour croiser leurs couchages, que le rĂ©sultat du dĂ©compte est d’évidence un multiple de cent, et sans doute de mille. Evanouis, disparus, c’est vrai, ils le sont aussi, mĂȘme sans invoquer Hugo et son horizon marin, tant nous les croisons continuellement sans les voir. Une dame m’a rĂ©cemment abordĂ©, hier soir pour tout dire, Gare de Lyon, tandis que je filais vers mon RER en retour de dĂ©placement. Le temps que je comprenne qu’elle m’interpellait Ă  voix douce pour quĂȘter, j’étais dĂ©jĂ  engagĂ© dans l’escalator, sans l’avoir vraiment entendue, et Ă  peine vue. J’ai eu, rĂ©trospectivement, l’impression de lui ĂȘtre passĂ© au travers, et ça me trouble. Ça me trouble, car je venais au fond, entraĂźnĂ© par le flot, de nier en acte une existence, qui par nature demande le respect. Je ne saurais pas vous dĂ©crire sa mise, ni mĂȘme sa couleur de cheveux, pourtant visibles ; ça, je m’en souviens quand finalement, ils le sont tout autant, brouillard et nuit ou pas. Prisonniers sans espoir dans un camp sans gardes, sans chiens loups, sans limites barbelĂ©es, tout aussi invisible que le furent pour les populations locales ceux du triste Reich de la honte ; prisonniers de leur condition d’exclus et sans plus de droits ou d’existence reconnue que les malheureuses victimes de l’Histoire passĂ©e. Et l’on y meurt aussi, dans ce camp inavouĂ© et tacite qu’est devenue la grande ville. De froid, certes, c’est l’hiver et on en parle. Mais tout le reste de l’annĂ©e aussi, d’un tas d’autres causes dont la misĂšre et la solitude sont le seul trait commun. Combien, oui, d’ailleurs, puisqu’on est en hiver, combien sont morts de froid depuis ce dĂ©but d’annĂ©e 2018 ? Invisibles, lĂ  aussi, dans les statistiques nĂ©crologiques, ils le sont. Un entrefilet çà ou lĂ , au hasard des journaux quotidiens, mais rien de bien clairement compilĂ© si on cherche sur internet. Ça interpelle quand on y trouve sans difficultĂ© qu’Assad aurait, Ă  date, trucidĂ© 492 personnes depuis le dĂ©but de son offensive sur des quartiers de Damas oĂč nul d’accĂšde tant le feu y est nourri. DĂ©nombrer sous les bombardements des Syriens dans les dĂ©combres de leur citĂ© martyre s’avĂšre sans doute plus simple que de le faire, avec d’ailleurs lĂ  encore des Syriens pour partie, chez nous Ă  la nuit tombĂ©e sous nos porches, sous nos ponts et dans nos caves. Deux, huit, douze, vingt, davantage, pour ces morts de froid millĂ©sime 2018 » sous nos fenĂȘtres ? Comme le dit la pub du mĂ©tro il n’est pas que la pluie d’obus qui tue ». Notre indiffĂ©rence Ă  tous, dont la mienne, et la pluie ordinaire dĂ©truisent disparus... Le dernier stade du dĂ©labrement des dĂ©portĂ©s, aux portes de la mort, s’appelait, je crois, musulman » dans l’argot des camps, sans doute parce qu’ils n’étaient plus que dans la main de Dieu. Cette dĂ©nomination trĂšs particuliĂšre, il est vrai oubliĂ©e de nos jours, m’est curieusement revenue en mĂ©moire, je ne sais pourquoi, Ă  l’évocation de ces malheureux que nous laissons crever dehors. Sur cette rĂ©miniscence incongrue, je me demande, notre rĂ©publique Ă©tant en manque de repĂšres laĂŻques, s’il ne faudrait pas inventer, au sortir des FĂȘtes de fin d’annĂ©e par exemple, une sorte de Ramadan RĂ©publicain. Outre l’effet salutaire immĂ©diat de nous purger de nos rĂ©cents excĂšs de table, il aurait le mĂ©rite moral, comme le revendique son confrĂšre islamique, de rappeler aux riches que nous sommes l’existence des pauvres que nous ne voyons plus. Vous aimerez aussi !Nouvelles Regards croisĂ©sLuc MoyĂšres Retour de dĂ©placement, un regard l'accrocha. Ronron du mĂ©tro, pas trop plein ce soir-lĂ , tous les usagers ou presque contemplaient leur smartphone, accaparĂ©s par son Ă©cran bleutĂ© ou feignant de ... [+]Nouvelles Essai, impair et passePatrick Liaudet Non, Jacky, t'es pas tout seul ; il y a toujours du monde dans les bistrots, gare de Perrache, place Bellecour ou rue de la Saint-Jean ouvre ses quinquets, ta carcasse d'ours ... [+]LivreNitro-collection 8 €
Le25 octobre 1994, en l’église de Notre-Dame-des-Victoires, sera cĂ©lĂ©brĂ©. Le vingt-cinq octobre mille neuf cent quatre-vingt-quatorze, en l’église de Notre-Dame-des-Victoires, sera cĂ©lĂ©brĂ©. Il est vingt-trois heures douze minutes huit secondes. Il est 23 heures 12 minutes 8 secondes. Il est 23 h 12 min 8 s. Il est 0 h 40.
REQUIEM,aprĂšs quarante ans de Ă  l’intĂ©rieure d’une pensĂ©e qui procĂšde par dĂ©tours et Retours. Ayant pris le parti pris de la folie, il ne peut y avoir, ICI, Une Ă©criture linĂ©aire. AltĂ©ritĂ© et fol en Christ n’est pas, ici, une Ă©criture dĂ©monstrative, c’est-Ă -dire une enquĂȘte MĂ©thodique, qui a partir des donnĂ©es premiĂšres, tacherait de parvenir a la solution d’un ProblĂšme donnĂ©. Il s’agit ici d’un recueil de regards, de visages tristes et heureux, d’une MĂ©moire au bord de la mer Testament spirituel, et, interpellations Ă  diffĂ©rentes Ă©chelles, et puis des coups de Gueule, avec comme seul certitude que l’altĂ©ritĂ© de l’autre est le lieu originel de la Transcendance. C’est aller vers le sens la folie est porteuse de sens . Quitter les murs de notre prison, Ă©crit Berdiaef dans philosophie et libertĂ©, c’est-Ă -dire les CatĂ©gories de la connaissance, l’espace qui Ă©crase, le temps qui dĂ©truit, la loi d’identitĂ© ,dont il souligne qu’elle est Ă©trangĂšre Ă  la grande logique du LOGOS qui est une logique trinitaire, tout cela est provoquĂ© par notre pĂ©chĂ© contre le sens, par notre refus du PERE. Accueil Contact PubliĂ© le 25 fĂ©vrier 2019 par richard. Ils Ă©taient vingt et cent, ils Ă©taient des milliers, Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombĂ©s, Qui dĂ©chiraient la nuit de leurs ongles battants, Ils Ă©taient des milliers, ils Ă©taient vingt et cent. Ils se croyaient des hommes, n'Ă©taient plus que des nombres Depuis longtemps leurs dĂ©s avaient Ă©tĂ© jetĂ©s. DĂšs que la main retombe il ne reste qu'une ombre, Ils ne devaient jamais plus revoir un Ă©tĂ©

Un nous lançons le projet «1000 maires pour les Coquelicots». Il s’agirait pour tous les Coquelicots de France et de Navarre de reprendre leur bĂąton de pĂšlerin et d’aller sonner Ă  la porte de leurs maires (et Ă©lus). D’ici septembre, il nous semble trĂšs possible d’obtenir des centaines de signatures d’édiles en appui Ă  l

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